• LeS NoCeS dE FiGaRo

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                                          Bonjour ami(e)s ' nautes , il y a peu je suis allée voir avec ma belle- fille

    *LES NOCES DE FIGARO *

     

     

    Un opéra-bouffe, sur un livret en italien de Lorenzo da Ponte, inspiré de la comédie de Beaumarchais, " Le Mariage de Figaro ".

    Rosine est maintenant la comtesse Almaviva ; son mari, toutefois, est loin d'être un modèle de vertu. Il poursuit entre autres de ses assiduités la camériste de sa femme, Suzanne (Susanna), qui doit épouser Figaro entré au service du comte, et la fille de son jardinier, Barberine (Barbarina). Il est toutefois concurrencé par le page Chérubin (Cherubino), qui est amoureux de toutes les femmes et en particulier de la comtesse sa marraine. De son côté, la vieille Marceline (Marcellina), aidée du docteur Bartholo (Bartolo) et du maîre de musique Bazile (Basilio), veut empêcher les noces de Suzanne et Figaro, car ce dernier lui a fait une promesse de mariage.

    L'ouverture est très célèbre: joyeuse, fébrile, mouvementée... Ce bref presto dépeint à merveille le caractère léger de l'oeuvre.

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    Acte I
    La chambre de Figaro et de Suzanne.
    Le rideau se lève sur une chambre meublée seulement d'un fauteuil. Figaro mesure l'espace afin d'y placer le futur lit nuptial, tandis que Suzanne essaye un chapeau orné de fleurs (Duo " Cinque... dieci... "). Suzanne ne veut pas de cette chambre que le comte leur destine, et qui se trouve à proximité des chambres de leurs maîtres car le comte risque d'en profiter pour la poursuivre de ses assiduités (Duo " Se a caso madama "). Figaro, demeuré seul, promet de déjouer les projets de son maître (Air " Se vuol ballare ").
    Entrent Bartholo et Marceline, un contrat à la main. La vieille fille lui demande de l'aider à obliger Figaro à honorer une ancienne promesse de mariage avec elle. Bartholo promet de s'y employer pour se venger de Figaro, auquel il n'a pas pardonné la soutien apporté au comte pour lui souffler sa pupille Rosine5 (Air " La vendetta "). Il sort. Marceline aperçoit Suzanne et essaie de la provoquer, mais cela se retourne contre elle (Duo " Via resti servita "). Chérubin entre et raconte à Suzanne que le comte l'a surpris seul avec la jeune Barberine et l'a congédié. Il vole à Suzanne un ruban appartenant à la comtesse sa marraine, dont il est amoureux (Air " Non so più cosa son, cosa faccio ").
    Le comte apparaît, pour réitérer ses avances à Suzanne et la convaincre d'accepter un rendez-vous galant. Chérubin n'a que le temps de se cacher derrière le fauteuil. La voix de Bazile, maître de musique et langue de vipère, se fait entendre et le comte se cache à son tour derrière le fauteuil, tandis que Chérubin bondit dessus, et que Suzanne le recouvre d'une robe. Mais le comte qui a révélé sa présence finit par découvrir le page (Trio " Cosa sento! "). Chérubin n'est sauvé que par l'entrée de Figaro à la tête d'un groupe de paysans, venus remercier à point nommé leur maître d'avoir aboli le droit de cuissage sur son domaine (Choeur " Giovinete liete "). Figaro demande au comte sa bénédiction pour le mariage, mais celui-ci temporise et réitère le bannissement de Chérubin, lui ordonnant de rejoindre son régiment. Figaro se moque ouvertement du jeune garçon en lui décrivant les affres de la vie militaire, mais lui dit tout bas qu'il doit lui parler avant son départ (Air " Non più andrai, farfallone amoroso ").


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    Acte II
    La chambre de la comtesse.
    La comtesse se lamente sur le délaissement de son mari. (Air " Porgi, amor, qualche ristoro ") Suzanne fait entrer Chérubin qu'elle convainc de chanter à sa marraine la sérénade qu'il a composée en son honneur (Air " Voi, che sapete che cosa é amor "). Les deux femmes décident de l'habiller en femme afin qu'il puisse rester incognito au château et assister au mariage (Air " Venite inginocchiatevi "). Arrivée du comte qu'une lettre anonyme a averti d'un rendez-vous galant donné à sa femme (il s'agit en fait d'un " faux " de Figaro, destiné à susciter la jalousie du comte et le détourner ainsi de Suzanne) ; Chérubin va se cacher dans le cabinet voisin mais il fait tomber un meuble et le comte, soupçonnant la présence d'un amant, ordonne à sa femme de l'ouvrir. La comtesse refuse, l'assurant que c'est seulement Suzanne ; le comte, fermant toutes les portes, entraîne dehors la comtesse en attendant de trouver une façon de forcer la porte du cabinet.
    Suzanne, qui avait réussi à se cacher derrière le lit, fait sortir Chérubin de sa cachette ; celui-ci saute par la fenêtre pendant que la camériste prend sa place dans le cabinet. Le comte et la comtesse reviennent. La comtesse avoue que c'est Chérubin qui est caché là pour une farce bien innocente. Le comte entre en fureur et force la porte mais, à son grand étonnement (et à celui de la comtesse), il tombe sur Suzanne. Celle-ci lui annonce ironiquement que la lettre était fausse et que c'était un jeu destiné à le rendre jaloux afin qu'il s'intéresse un peu plus à sa femme. Figaro entre et subit les remontrances de son maître mais désamorce le conflit en rappelant que la noce les attend.
    Le jardinier Antonio apporte à ce moment au comte un papier qu'il dit avoir été perdu par un homme qui vient de sauter par la fenêtre de la comtesse. Le document s'avère être la nomination de Chérubin comme officier et Figaro se sort de cet embarras en affirmant que c'est lui qui a sauté et qu'il était en possession de ce papier dans le but d'y faire apposer par le comte un cachet manquant. Alors que tous s'apprêtent à rejoindre la noce, Marceline, Bartholo et Bazile apparaissent, réclamant l'application du précédent contrat. Le mariage de Figaro et de Suzanne se trouve reporté afin que le comte puisse juger sereinement - dit-il - de sa validité.


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    Acte III
    La salle du mariage.
    Le comte est embarrassé par les événements récents. Suzanne se présente et lui annonce qu'elle consent à le rencontrer dans le jardin. Le comte se réjouit de ce revirement (Duo " Crudel, perché finora "). Alors qu'elle quitte la pièce, elle dit à voix basse à Figaro que leur succès est maintenant certain et son procès gagné d'avance. Le comte entend ces dernières paroles et comprend qu'il a été trompé (Air " Hai già vinta la causa "). La scène du procès s'ensuit au cour de laquelle on découvre que Figaro est le fils naturel de Marceline et Bartholo, enlevé à sa naissance et qu'il ne peut donc pas épouser la vieille gouvernante (Sextuor " Riconosci in questo amplesso una madre "). les anciens ennemis tombent dans les bras les uns des autres au grand dépit du comte.
    Seule, la comtesse songe à son bonheur perdu (Récitatif et air " E Susanna non vien... Dove sono ") quand Suzanne arrive et lui annonce la bonne nouvelle. Les deux femmes décident de confondre le comte en lui donnant rendez-vous le soir même dans le jardin, où la comtesse se rendra sous les habits de Suzanne (Duo " Canzonetta sull'aria "). Le comte devra lui rendre l'épingle qui ferme la lettre pour montrer qu'il l'a bien reçue. Un choeur de jeunes paysans, avec parmi eux Chérubin, donne une sérénade à la comtesse (" Recivete, o padroncina "). Le comte arrive avec Antonio et, découvrant le page, se met d'abord en colère puis finit par pardonner, apaisé par Suzanne qui lui remet discrètement le billet. L'acte s'achève par le double mariage de Figaro avec Suzanne et de Marceline avec Bartholo.

    Acte IV
    Dans le jardin, le soir (parfois précédé par une scène dans le couloir).
    Suivant les directives du billet, le comte a envoyé Barberine porter l'épingle à Suzanne mais la jeune fille l'a perdue (Cavatine " L'ho perduta, me meschina "). Innocemment, elle apprend à Figaro - qui n'est pas au courant de la supercherie - l'existence du rendez-vous. Malgré les tentatives d'apaisement de sa mère, qui lui explique que les femmes ont des circonstances atténuantes (Air " Il capro e la capretta "), il décide de se venger et de confondre les amants sous les yeux de tous, après avoir déversé sa rancoeur vis-à-vis de la gent féminine (Récitatif et air " Tutto è disposto... Aprite un po' quegli occhi ").
    Suzanne, qui a été prévenue par Marceline, veut également jouer un tour à Figaro qui ose douter de sa fidélité. Après avoir prêté sa voix à la comtesse pour exprimer son impatience à retrouver son " bien-aimé " (Air " Giunse alfin il momento...Deh vieni, non tardar "), elle tente sous les habits de la comtesse de séduire Figaro mais celui-ci évente rapidement la ruse et, après être entré dans son jeu en devenant de plus en plus entreprenant, ce qui met en rage Suzanne, il lui avoue l'avoir reconnue. Les jeunes mariés font la paix alors que paraît la comtesse, d'abord importunée par Chérubin qui pense faire la cour à Suzanne, puis rejointe par le comte qui lui déclare son amour et lui offre en gage une superbe bague.
    Désirant pousser la farce jusqu'au bout, Figaro se met à courtiser à haute voix la fausse comtesse, ce qui a pour conséquence de mettre le comte hors de lui, qui appelle ses gens, bien décidé à châtier les coupables. Des lumières apparaissent et les masques tombent à la grande confusion du comte qui n'a plus d'autre choix que d'implorer le pardon de sa femme. Celle-ci consent et tous, enfin réconciliés, décident de finir la soirée au son des chants et des danses du banquet de mariage (Final " Contessa perdono... Questo giorno di tormenti ").
    McCallin complètent magnifiquement cette production. AntonioLes Noces de Figaro est le premier des trois opéras que Mozart écrivit avec Lorenzo da Ponte. Le livret est tiré de la pièce de Pierre Caron de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, qui, parce qu'elle mettait en scène un valet qui se révoltait contre son maître, avait été interdite par la censure pendant plusieurs années.

    Les Noces de Figaro a été créé au Burgtheater de Vienne, le 1er mai 1786.
    La création parisienne eut lieu le 20 mars 1793, salle de la Porte Saint-Martin, dans une adaptation française de Beaumarchais lui-même. 
    Pappano dirige l'orchestre (et accompagne les récitatifs) avec une remarquable finesse et une grande intensité émotionnelle. 


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    Figaro: Erwin Schrott
    Susanna: Miah Persson
    Count Almaviva: Gerald Finley
    Countess Almaviva: Dorothea Röschmann
    Marcellina: Graciela Araya
    Barbarina: Ana James
    Cherubino: Rinat Shaham
    Choeur du Royal Opera
    Orchestre du Royal Opera House
    Mise en scène: David McVicar
    Direction musicale: Antonio Pappano

    Durée: 3h22  , retransmis du Royal  OPERA  HOUSE  DE LONDRES

    J' ai passé un bon moment , c'est très drôle et si vous avez le courage de lire le livret ..

    Quelqu'unes de ces infos prises sur le net

     

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  • Commentaires

    1
    Jeudi 21 Avril 2011 à 00:24

    Quel beau billet.

    bonne nuit et à demain.


    2
    Jeudi 21 Avril 2011 à 03:30
    Annick

    j'adore Mozart!

    un beau billet sur les Noces de Figaro...

    en 2007, à Vaison la Romaine j'avais chanté dans un choeur deux air de cet Opéra...

    nous avions fait tout une soirée Mozart .

    bisous...

    3
    Jeudi 21 Avril 2011 à 07:11

    bel article  passe une bonne journée

    4
    Jeudi 21 Avril 2011 à 19:03
    DentelleDeLune

    Bonjour Laurette , hum , je te l'avoue , je n'aime pas les opéras , le peu que j'ai vu , je me suis ennuyé à mourir ! M'en veux pas surtout ! Je crois aussi que cela vient de la jeunesse qu'on a eu , je n'ai pas vraiment baigné dans ce genre de musique et si j'aime Sarah Brightman qui est pourtant d'origine une soprano , c'est qu'elle sait mélanger tous les genres de musique , du classique ( que j'aime pas trop ) elle va passer , au rock , disco , j'aime ce mélange ! Je te souhaite une belle fin de journée , amitiés et bisous de Thierry

     


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    5
    Vendredi 22 Avril 2011 à 13:22
    Un p'tit coucou de T

    Bonjour ma chère Laurette ,

    Je passe te souhaiter un bon weekend pas cal; pour ma part je serais fort occupée.

    Je te souhaite pleins de petits bonheurs et t'envoie de gros bisous.

    6
    Vendredi 22 Avril 2011 à 20:05
    DentelleDeLune

    Bonjour  Laurette , j'espère que tu as passé une bonne journée et qu'il a fait beau , ici , c'était le cas ! c'est incroyable ce mois d'Avril , c'est le temps qu'on a en été , et encore quand il veut bien faire beau , je te souhaite une
    belle fin de journée et  bon week-end de Pâques , amitiés et bisous de Thierry

     

     


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