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Par icioula24voyage le 13 Septembre 2012 à 17:41
Nous sommes à Nice , dans le jardin du Musée Masséna .sur la Promenade de Anglais
C'est un Musée que j'aime visiter ,
Entrons ,je vous prie
Nous devons faire le tour du jardin, pour accéder à l 'entrée qui est située sur la face arrière du Musée
Où nous sommes accueillis par ce personnage ,
Napoléon 1er , encadré par des torchères dorées,bronze Pierre-Philippe Thomire .
L'avez -vous reconnu ?
Cette statue en pieds, copie de celle inaugurée en 1805 au siège du Corps législatif.
NAPOLEON 1er ,en empereur Romain,dans sa main ,il tient le code civil.
Quelques pas , et nous voici dans le salon des portraits ,
L' Impératrice Joséphine de Antoine Jean Gros
Le baron Gros, mieux connu comme peintre de bataille que comme portraitiste, a représenté en pied l'impératrice Joséphine, portant une longue et simple robe blanche bordée de motifs cachemire, un châle rouge de même style flanqué en travers de l'épaule. Son visage tourné vers la gauche fixe le buste de son fils, le prince Eugène de Beauharnais, vice-roi d'Italie, représenté en buste sur une gaine. Dans sa main gauche, elle tient une lettre de lui dont l'enveloppe, tombée à ses pieds, cachetée et entrouverte laisse apparaître la mention manuscrite « A sa majesté l'impératrice et reine, le prince Eugène ». Sur une table, repose un vase de porcelaine blanche au chiffre de Joséphine rempli d'hortensias en référence à la reine Hortense, sa fille. Ces deux enfants sont issus du premier mariage de l'impératrice, née Rose Tascher de la Pagerie (1763-1814) avec Alexandre de Beauharnais. Elle pose la main droite sur un livre de maroquin rouge sur lequel est inscrit Flore de Malmaison. Ce geste rappelle l'attention que Joséphine porta à l'aménagement du jardin confié à Aimé Bonpland (1773-1858) et l'attirance qu'elle manifesta pour la botanique, faisant de Pierre Joseph Redouté (1759-1840), auteur des célèbres planches de dessins de roses, son peintre officiel à partir de 1804. Au dos du tableau Auguste Pierlot, possesseur de l'œuvre au XIXe siècle, a laissé sur un carton une note manuscrite signée et datée du 5 mars 1855 par laquelle il « certifie que ce tableau a été donné par l'impératrice Joséphine à mon père Louis Pierlot, intendant général de sa maison en 1810, qu'il a été peint pour l'empereur par Gros en 1808 et a été retiré des salons de Malmaison pour être porté chez mon père à Bordeaux ». En témoignage de reconnaissance, Joséphine donna à son intendant ce portrait qui fut soigneusement conservé par son fils Auguste Pierlot. Ses descendants le cédèrent à à M.D. Rechner qui l'accrocha dans sa villa Hersilia de Monaco où il fut vendu avec l'ensemble de sa collection en 1926. C'est à cette occasion que M. et Mme John Jaffé, amateurs d'art et bibliophiles napoléoniens, achetèrent le tableau pour l'offrir au musée Masséna.
Je n'ai pas trouvée de tableau où l'impératrice Joséphine portait cette magnifique traîne ou manteau de cours
Si ,je me souviens bien ,il était dit qu'elle portait ce somptueux manteau pendant les jours du sacre, mais ce n'est pas celui-ci que nous voyons sur le fameux tableaux de David.
Le travail de broderie est fabuleux, ma photo ne rend pas la beauté du tissus
à voir l'épaisseur de l'ourlet , combien devait être lourde cette belle tenue de cours !
Napoléon 1er en costume du Sacre
Quelques beaux objets " dorés " pour continuer la série ,du thème de hauteclaire
Je referme la porte, mais promis, nous reviendrons dans ces lieux pour compléter la visite de ce Musée qui me charme tant.
votre commentaire -
Par icioula24voyage le 13 Juin 2012 à 15:04
La gagnante est mon amie de coeur Annick de Guyane , tu choisiras un bouquin en fain de billet
Et moi aussi j'ai trouvée la bonne réponse chez toi ! YES §
Cet article est peut être un peu long, mais à cause de ' difonctionnement, je n'arrive pas à oter certaines informations
Elle est vraiment belle
Unes statue qui se trouve tout près de chez moi , en Martinique
Souces Wikimedia , merci
*En 1883, Victor Schœlcher fit don au conseil général de la Martinique d’une partie de sa bibliothèque personnel (10.000 volumes et 250 partitions musicales), à condition que cette bibliothèque soit ouverte à tous, en particulier pour l’instruction des anciens esclaves noirs, et placée sous la responsabilité d’un bibliothécaire attitré.
Le premier conservateur imposé par Victor Schœlcher fut Victor COCHINAT, journaliste parisien et secrétaire d’Alexandre Dumas.
La plupart des livres originaux envoyés en Martinique dès 1884 furent détruits par l’incendie qui ravagea Fort de France en 1890.La Bibliothèque Schœlcher fut construit sur les plans d’Henri PICQ, également auteur de la Cathédrale Saint Louis et de l’ancienne église Saint Michel du François.
Le bâtiment fut exposé près de l’Arc de Triomphe du Carrousel et non au Champ de Mars, avant d’être remonté en Martinique, au bord de la Savane, sur l’emplacement de l’hôtel du Petit Gouvernement, ancienne résidence des Beauharnais.
Contrairement à une légende répandue jusqu’à des recherches récentes, le bâtiment n’abrita pas le pavillon des Antilles à l’exposition universelle de Paris en 1889.La Bibliothèque Schœlcher a été classée monument historique le 5 janvier 1993 (inscrite à l’inventaire supplémentaire depuis le 15 mars 1973).
Victor Schœlcher /ʃœlʃεr/ est un homme d'État français, né à Paris le 22 juillet 1804[1] et mort à Houilles le 25 décembre 1893[1]. Il est connu pour avoir poussé à l'abolition définitive de l'esclavage en France, via le décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848, signé par le gouvernement provisoire de la deuxième République[2] le 27 avril 1848.
Victor Schœlcher naît le 22 juillet 1804 à Paris (5e arrondissement ancien, aujourd'hui 10e arrondissement) au 60 rue du Faubourg Saint-Denis[3], dans une famille catholique bourgeoise. Son père, Marc Schœlcher (1766-1832), originaire de Fessenheim (Haut-Rhin) en Alsace[1], est propriétaire d'une usine de fabrication de porcelaine[4]. Sa mère, Victoire Jacob (1767-1839), originaire de Meaux (Seine-et-Marne), est marchande lingère à Paris au moment de son mariage[5].
Victor Schœlcher est baptisé en l'église Saint-Laurent le 9 septembre 1804[6].
Il fait de courtes études au lycée Condorcet, côtoyant les milieux littéraires et artistiques parisiens[1], faisant connaissance avec George Sand, Hector Berlioz et Franz Liszt[4].
Son père l'envoie au Mexique[7], aux États-Unis et à Cuba en 1828-1830 en tant que représentant commercial de l'entreprise familiale[1]. Lorsqu'il est à Cuba, il y est révolté par l'esclavage.
L'engagement[modifier]
De retour en France, il devient journaliste et critique artistique[1], publiant des articles, des ouvrages, multipliant ses déplacements d'information. Il adhère à la franc-maçonnerie, à la loge « Les Amis de la Vérité » puis à « La Clémente Amitié ». En 1847 il rédige, pour le compte de la Société pour l'abolition de l'esclavage, fondée en 1834, la Pétition pour l’abolition complète et immédiate de l’esclavage adressée à MM. les membres de la Chambre des pairs et de la Chambre des députés. Il revendra rapidement la manufacture dont il hérite en 1832 à la mort de son père pour se consacrer à sa carrière politique[4].
Le discours abolitionniste de Schœlcher évolue au cours de sa vie. En effet, au début de son engagement, il s'oppose à l'abolition immédiate de l'esclavage. En 1830, dans un article de la Revue de Paris, « Des Noirs », il demande ouvertement de laisser du temps aux choses. Cette vision de l'abolition se retrouve en 1833, dans son premier grand ouvrage sur les colonies : De l'esclavage des Noirs et de la législation coloniale. Pour lui, il serait dangereux de rendre instantanément la liberté aux noirs, parce que les esclaves ne sont pas préparés à la recevoir. Il souhaite même le maintien de la peine du fouet, sans laquelle les maîtres ne pourraient plus travailler dans les plantations. Il faut attendre un nouveau voyage dans les colonies pour qu'il se tourne vers une abolition immédiate.
Nommé sous-secrétaire d'État à la Marine et aux colonies dans le gouvernement provisoire de 1848 par le ministre François Arago, il contribue à faire adopter le décret sur l'abolition de l'esclavage dans les Colonies. Le décret signé par tous les membres du gouvernement paraît au Moniteur le 5 mars.
De 1848 à 1850, il siège à gauche comme député de la Martinique et de la Guadeloupe.
Article détaillé : Décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848.L'esclavage avait déjà été aboli en France, pendant la Révolution française le 16 pluviôse an II, puis rétabli par Napoléon Ier par la loi du 20 mai 1802. Victor Schœlcher, nommé par Lamartine président de la commission d'abolition de l'esclavage, est l'initiateur du décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l'esclavage en France.
Lors du coup d'État du 2 décembre 1851, il fut un des députés présents aux côtés de Jean-Baptiste Baudin sur la barricade où celui-ci sera tué. Républicain, défenseur des droits de la femme, adversaire de la peine de mort, il est proscrit durant le Second Empire par le coup d'État de Louis Napoléon Bonaparte. Il s'exile en Angleterre où il rencontre fréquemment son ami Victor Hugo ; il y devient un spécialiste de l'œuvre du compositeur Georg Friedrich Haendel, rassemble une collection très importante de ses manuscrits et partitions[8] et rédige une de ses premières biographies, mais celle-ci n'est éditée que dans sa traduction anglaise. En 1870, il revient en France suite à la défaite de Sedan. Après l'abdication de Napoléon III, il est réélu grâce aux réseaux maçonniques des Antilles député de la Martinique à l'Assemblée nationale (1871). Le 16 décembre 1875, il est élu sénateur inamovible.
En 1877, Victor Schœlcher dépose une proposition de loi pour interdire la bastonnade dans les bagnes. La commission d'initiatives refuse la proposition, mais les peines corporelles seront abolies en 1880. Sous la Troisième République, le gouvernement Ferry promulgua la loi du 30 juillet 1881, dite de « réparation nationale », qui allouait une pension ou rente viagère aux citoyens français victimes du coup d'État du 2 décembre 1851 et de la Loi de sûreté générale. La Commission générale chargée d'examiner les dossiers, présidée par le Ministre de l'Intérieur, était composée de représentants du ministère, de conseillers d'État, et comprenait huit parlementaires, tous d'anciennes victimes : quatre sénateurs (Victor Hugo, Jean Macé, Elzéar Pin, Victor Schœlcher) et quatre députés (Louis Greppo, Noël Madier de Montjau, Martin Nadaud et Alexandre Dethou)[9]. En 1884 et 1885 il tente de s'opposer, sans succès, à l'institution de la relégation des forçats récidivistes en Guyane. Abolitionniste mais colonialiste, il continue de défendre la colonisation par le bulletin de vote et la scolarisation[10].
La fin de sa vie[modifier]
À la fin de sa vie, comme il ne s'était jamais marié et qu'il n'avait pas eu d'enfant, il décida de donner tout ce qu'il possédait ; il a notamment fait don d'une collection d'objets au Conseil général de la Guadeloupe, aujourd'hui hébergée au Musée Schœlcher . Victor Schœlcher est mort le 25 décembre 1893 à l'âge de 89 ans dans sa maison qu'il louait depuis 1876 au 26 rue d'Argenteuil[11], devenue depuis l'avenue Schœlcher, à Houilles dans les Yvelines. Enterré à Paris au cimetière du Père-Lachaise, ses cendres furent transférées par décision de l'Assemblée nationale et du Président du Conseil de la République, Gaston Monnerville au Panthéon le 20 mai 1949 en même temps que celles du Guyanais Félix Éboué (premier noir à y être inhumé).
Postérité[modifier]
En hommage à son combat contre l'esclavage, la commune de Case-Navire (Martinique) prit le nom de Schœlcher en 1888.
En 1952, un billet de 5 000 francs à l'effigie de Victor Schœlcher est mis en circulation en Martinique.
La commune de Fessenheim a fait de la maison de la famille Schœlcher un musée qui porte son nom. La commune de Torcy a un collège qui porte son nom.
La commune de Houilles acquiert la maison de campagne de Victor Schœlcher (par préemption) où il est décédé pour en faire un musée qui lui sera consacré[12].
Les communes d'Auray, de Folschviller et de Saint-Herblain possèdent une rue à son nom.
- le 21 juillet : jour de Victor Schœlcher (commémoration de la naissance, le 22 juillet 1804 du député qui fut à l'origine de l'abolition de l'esclavage), en Guadeloupe, à Saint-Martin et en Martinique,
- 10 mai : Journée annuelle de la mémoire de l'esclavage, commémoration de la reconnaissance par le Parlement français de l'esclavage comme crime contre l'humanité ; elle s'ajoute à celles de l'abolition de l'esclavage dans les régions d'outremer
« Évoquer Schœlcher, ce n'est pas invoquer un vain fantôme, c'est rappeler à sa vraie fonction un homme dont chaque mot est encore une balle explosive... Schœlcher dépasse l'abolitionnisme et rejoint la lignée de l'homme révolutionnaire : celui qui se situe résolument dans le réel et oriente l'histoire vers sa fin. »
— Aimé Césaire, Extrait de l'Introduction de Esclavage et colonisation, recueil de textes de Victor Schœlcher, 1948
Œuvres[modifier]
- 1833 : De l'esclavage des Noirs et de la législation coloniale 1833.
- 1840 : Abolition de l'esclavage. Examen critique du préjugé contre la couleur des africains et des sang-mélés, « Des Noirs », Revue de Paris, tome XX, 1830, p. 71-83.
- 1842 : Des colonies françaises. Abolition immédiate de l'esclavage. Publié par Pagnerre, 1842. Exemplaire Université de Harvard. Copie numérisée le 13 déc 2005. Consulté le 11 avril 2009.
- 1843 : Colonies étrangères et Haïti. Résultats de l'émancipation anglaise : Colonies Danoises — Haïti — Du droit de visite — Coup d'œil sur l'état de la question d'affranchissement, t. second. Publié par Pagnerre, 1843. Exemplaire la New York Public Library. Copie numérisée le 19 déc 2007. Consulté le 12 avril 2009.
- 1844: De la pétition des ouvriers pour l'abolition immédiate de l'esclavage.
- 1847 : Histoire de l'esclavage pendant les deux dernières années. Publié par Pagnerre, 1847. Exemplaire de la Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, Copie numérisée le 7 fév. 2008. Consulté le 11 avril 2009.
- 1857 : Life of Haendel, Londres, Trübner. (traduction de son manuscrit français par James Lowe)
- 1874 : Le Deux décembre, les massacres dans Paris, Paris, Librairie de la Bibliothèque démocratique, 1874.
- 1889 : Vie de Toussaint Louverture, Karthala Éditions, 1889.
Voir aussi[modifier]
- Un collège a été édifié portant son nom dans Kourou, en Guyane française.
- Dans Case départ, film de Lionel Steketee, Fabrice Eboué et Thomas Ngijol, le jeune fils de l'esclavagiste, Victor Jourdain, indigné par le sort des esclaves de son père, est prénommé ainsi en référence à Victor Schœlcher.
Bibliographie[modifier]
- Alexandre-Debray, Janine, Victor Schœlcher ou La mystique d'un athée, Perrin, 2006.
- Anne Girollet, Victor Schœlcher, abolitionniste et républicain : approche juridique et politique de l'œuvre d'un fondateur de la République, Éditions Karthala, 2000 www.girollet.com
- Anne Girollet, Victor Schœlcher, républicain et Franc-Maçon, Paris, Éditions maçonniques de France, collection « Encyclopédie maçonnique », 2000. www.girollet.com
- Schmidt Nelly, Victor Schœlcher et l’abolition de l’esclavage, Fayard, Paris, 1994.
- Federini Fabienne, L’abolition de l’esclavage 1848 : une lecture de Victor Schœlcher, L’Harmattan, Paris, 1998.
- Rodolphe Robo, L' Abolition de l'esclavage, la République et Victor Schœlcher, Cayenne, 1983.
- 1995 : La correspondance de Victor Schœlcher. Présentée par Nelly Schmidt, Paris : Maisonneuve et Larose, 1995.
- 1998 : Des colonies françaises. Abolition immédiate de l'esclavage, (1842). Nouvelle édition, les Éditions du CTHS, 1998.
Liens externes[modifier]
- Dossier « Victor Schœlcher, sénateur philanthrope » sur le site du Sénat
- Victor Schœlcher, l'abolition , un téléfilm de Paul Vecchiali, avec Jacques Perrin (1998)
- Les tombeaux de Victor Schœlcher
- Bicentenaire de la naissance de Victor Schœlcher
- Transfert de Victor Schœlcher au Panthéon
- L'aviso-escorteur Victor Schœlcher (1958-1988) Marine nationale française
Notes et références[modifier]
- Victor Schœlcher (1804-1893) [archive] sur www.senat.fr. Consulté le 19 décembre 2008
- Site de l'Assemblée nationale [archive]
- Extrait du registre d'état civil du 5e arrondissement de Paris (an XII) : Du cinq thermidor an 12 de la République, à onze heures. Acte de naissance de Victor, du sexe masculin, né le trois courant à une heure du soir chez ses père et mère, rue du faubourg Saint-Denis, n°60, Division du Nord, fils de Marc Schœlcher, manufacturier de porcelaine, et de Victorine Jacob, qu'il a déclaré être son épouse. Signé : Worm. L'original de l'acte a disparu lors de la destruction des archives de Paris pendant les incendies de 1871, mais une copie en avait été faite et elle est citée par Anne Girollet dans Victor Schœlcher, abolitionniste et républicain, Paris, Éditions Karthala, 2000, page 24.
- Victor Schœlcher, un sénateur philanthrope [archive] sur www.senat.fr. Consulté le 20 décembre 2008
- Régine de Plinval de Guillebon, La Porcelaine à Paris sous le Consulat et l'Empire, Genève, Droz, 1985, page 95.
- Registre des baptêmes de la paroisse Saint-Laurent de Paris, années 1802-1806, cité par Anne Girollet dans Victor Schœlcher, abolitionniste et républicain, Paris, Éditions Karthala, 2000, page 24.
- C'est de ce pays qu'il envoie à la Revue de Paris ses premiers articles sur l'esclavagisme dans les plantations.
- Collection conservée au département Musique de la Bibliothèque nationale de France.
- Denise Devos, « La loi de réparation nationale du 30 juillet 1881 : source de l'histoire de la répression de l'insurrection de décembre 1851 [archive] », Revue d'histoire du XIXe siècle, 1 | 1985, mis en ligne le 28 octobre 2002.
- Victor Schœlcher [archive] émission Deux mille ans d'Histoire
- Extrait du registre d'état civil de la ville de Houilles (1893) : L'an mil huit cent quatre-vingt treize, le vingt-six décembre, à neuf heures du matin, par devant nous Henri Vanin, maire officier de l'état civil de la commune de Houilles, arrondissement de Versailles, département de Seine-et-Oise, ont comparu messieurs Marcel Mar... Joseph, âgé de cinquante-deux ans, inspecteur du contrôle des chemins de fer, et Marcel Gustave, âgé de cinquante cinq ans, propriétaire, adjoint au maire de la commune, tous deux domiciliés à Houilles, voisins du décédé ci-après dénommé, lesquels nous ont déclaré que Schœlcher Victor, sénateur inamovible, âgé de quatre-vingt neuf ans, né à Paris le 4 juillet 1804, fils de Marc et de Jacob Victoire décédés, demeurant à Houilles, avenue d'Argenteuil, est décédé hier, à dix heures du soir à son domicile. Et après nous être assuré du décès, nous avons dressé le présent acte que les déclarantsCe document provient de « http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Victor_Schœlcher&oldid=78968076 ».
- Naissance en 1804
- Naissance à Paris
- Élève du lycée Condorcet
- Ancien député de la Martinique
- Membre de l'Assemblée constituante de 1848
- Ancien député de la Guadeloupe
- Député de la Deuxième République française
- Ministre de la Deuxième République
- Ministre français de la Marine
- Ministre français des Colonies
- Opposant au Second Empire
- Ancien député de la Martinique (troisième République)
- Député à l'Assemblée nationale (1871)
- Sénateur inamovible
- Antiesclavagiste français
- Adversaire de la peine de mort
- Républicain français du XIXe siècle
- Personnalité de la franc-maçonnerie française
- Personnalité de la colonisation française
- Personne inhumée au Panthéon de Paris
- Personnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 50)
- Décès
Pour Annick
, fais ton choix entre
11 commentaires -
Par icioula24voyage le 24 Mars 2012 à 13:42
UN JEU ?
Je prépare un voyage dans un pays où je ne suis jamais allée
En vous donnant quelques indices ,allez -vous trouver la destination où je vais passer mes vacances ?
Si oui ,un petit souvenir de ce pays pour la 1ere personne qui trouvera !
Il est entouré de cinq frontières et je suis déjà allée dans deux de ces pays et j'ai eu la joie de naviguer sur les rivages de cette mer qui la borde et elle m'avait charmée
Je vais pouvoir visiter de beaux monastères ,églises ,mosquées ,ruines
Marcher dans de grandes vallées sauvages,Massifs montagneux inviolés,couverts de sombres forêts servant d' écrin à des lacs somptueux, plaines fleuries , vieux villages qui perpétuent les traditions ancestrales
Habituellement je vous donne un indice sur des personnalités
Là je ne vous en livre qu'un seul ,je garde les autres pour plus tard
Une célébre chanteuse ,native de ce pays est retournée après de nombreuses années d'absence dans sa région, cela m'avait bouleversée de voir le reportage , ainsi que son tour de chant
J'aurai certainement quelques difficultés avec la langue de ce pays que je ne connais pas du tout ,ainsi que par la monnaie ,mais j'ai l'habitude de m'adapter, c'est ce qui fait aussi le charme de la découverte !
Voilà à vous maintenant de chercher
Déjà vous avez la carte alorssss...
Bonne recherche mes ami(e)s ' nautes
15 commentaires -
Par icioula24voyage le 20 Novembre 2011 à 20:14
Bonjour et merci aux participantes d'avoir pris un peu de temps pour me lire
Donc en effet c'est bien un porte-clé , mais ce n'était pas vraiment la question,car je me suis très mal exprimée ,toutefois elle est acceptée donc ..
La réponse est :un" MALUANA Amérindien "ou " Ciel de case " élément de la tradition amérindienne
destinée à orner le plafond du carbet principal ( tukusipan ) aux figures zoomorphes
Tout d' abord avant les grandes explications pour celles qui seraient concernées par les Arts
Je dois vous dire d'où il vient ,mais déjà quelques futées ont pigé
C'est hier ,dans ma BAL , que j'ai reçue ce bel objet ,de mon amie Annick la Guyanaise
l'ayant photographier sur du madras je vous donnais un peu la direction à prendre !
En effet certaines ont trouvé ; le porte clé , la tortue, le poisson , mauvais sort..
Bon je commence l'historique du MALUANA Améridien , ici plus précisément de Saint Laurent du Maroni, Guyane ( française )
Le Maluana ( ciel de case ) est une piéce ronde de bois , découpée dans les contreforts d'un arbre de la forêt Guyanaise = le fromager
Rapportée à dos d' homme au village , la découpe est déposée à l'ombre d'un arbre pour sécher
Lorsqu' elle ne contient plus de sève , elle est taillée au sabre en forme de plateau circulaire
La circonférence est tracée à l' aide d'un compas improvisé avec 2 pointes à une ficelle
Surfaces aplanies au rabot , l'une d' elle est noircie au feu, grattée au couteau pour éliminer la pellicule calcinée ,puis enduite de apulukum.
Des animaux mythiques sont ensuite tracés à la pointe d'un canif, puis en peinture
Autrefois les Amérindiens n' utilisaient que des colorants minéraux et végétaux , dont les contrastes étaient peu marqués, maintenant peintures acryliques du commerce , couleurs plus vives.
Le ciel de case est ensuite placé au centre des carbets circulaires de Réunions, juste sous la toiture
il est percé en son centre , d'un trou, dans lequel vient passé le poteau central
Le ciel de Case est orné de motifs animaliers ,tirés de la symbolique culturelle WAYANA ,
Tortues, tamarins, serpents ,grenouilles,poissons, chenilles urticantes, et malokol-esprit des eaux
Il sert à éloigner les insectes et animaux indésirables,ainsi que les esprits
Il symbolise la protection de tous ceux qui dorment dessous
Ainsi utile pour apprendre aux enfants à respecter les animaux de la forêt
Voici quelques ' Maluana ', glanés ici où là sur le net, tout comme mon propos, concernant la Guyane
Donc mes amies, Alexomy ,tu as trouvé le porte clé
Marine, la tortue, le poisson
TatiAna ,contre le mauvais sort
Trouver excatement ' le ciel de case' était difficile alors pour votre participation .Vous serez récompensées
Et puis ici je remercie mon amie Annick qui m'a bien gâtée , car cet objet , est très joli, je ne vais pas l'accrocher dans mon ciel de lit, mais je peux le porter en pendentif, j'aurai trop peur que mes clés abiment l' émail
Elle est bien loin mon amie des terres lointaines mais proche de mon coeur et grâce aux nouvelles technologies nous sommes souvent en contact
Pour ceux qui ne la connaissent pas
Elle est dans ce département français
Elle nous raconte si bien ce beau territoire ICI
@ bientôt Annick, ton cadeau a fait l' objet de ce billet que j'ai écris avec plaisir ,je pense que mes infos sont exactes ?
tis bos pour toi et à tous ceux qui me font le plaisir de me rendre visite et de me laisser un com
Une petite lumière prise sur son blog
à faire circuler..
25 commentaires -
Par icioula24voyage le 20 Novembre 2011 à 09:06
Bonjour de Tours où il fait un beau soleil
Je vous présente un objet
Qui me dira ce que représente cet objet ?
Une carte postale d'ici où là, pour la première bonne réponse
Merci " dentelle de Lune " pour cette signature ICI
et un de mes chats enchantés
20 commentaires -
Par icioula24voyage le 27 Septembre 2011 à 13:06
Merci les ami(e)s
Hé non , ce n'est pas dans mon île bien-aimée que je vais aller passer mes vacances ! j'ai déjà fait un long et heureux séjour cette année chez nous en Martinique ,n'abusons pas des bonnes choses ...
Je connais bien l' Espagne et les Canaries et d' autres îles de la Méditerrranée ..
Mais pas celle-ci
Donc il y a bien une grande gagnante ( suivie de près par vous tous )
C' est mon amie'naute
Rose des neiges ici qui a trouvé la première ( mince la rose est immobile ! ) dommage c'était beau
Georges Sand et Frédéric Chopin ,oui ma Rose ils y ont séjournés
Chopin : "Ce paysage est l' un des plus beau du monde ,et les yeux des hommes ne l' ont pas terni"
Valldemossa ( merci Renée du Sénégal ) il me semble joli ce village
Bravo à toi ma douce Eliane link, tu auras un petit souvenir à mon retour fin Octobre
Pour les autres " participants " " une petite carte si bien entendu j'ai leur adresse
Thierry :
Carlos Moya est de Palma de Majorque , je séjournerai à quelques km de là
Rafael Nadal est natif de l' île aussi : Monacor
Muchas gracias à Annick et Romy , sages comme des images, muettes elles n'ont pas vendu la mèche
Hasta pronto!
10 commentaires -
Par icioula24voyage le 26 Septembre 2011 à 12:30
Bonjour les ami(e)s
Voilà c'est tout moi , je pars quand tout le monde est de retour !
Bon cet été je suis bien allée en vadrouille , mais ce n'était pas vraiment des vacances que d' être dans les cartons !
Donc devinette avec un petit lot en récompense pour le ou la gagnante
Que vous dire pour vous mettre sur la piste ?
Hummm...
J'aime le soleil , la mer , les paysages sauvages , la montagne , les parcs naturels, les jolis petits villages pittoresques ,les Musées, les belles églises,les marchés ( hippies )
Ok , on trouve tout cela un peu partout sur notre jolie planète bleue !
Un indice , allez même deux !
Deux joueurs de tennis réputés y sont nés .....
Je pense que vous brûlez ...
Nan ?
Je connais bien ce pays , dont dépend ma destination , mais je ne suis jamais allée dans cet endroit , connu pour ses fêtes jusqu' au petit matin..on me dit que c'est très touristique , surfait , tellement people.. ! autrefois Georges Sand et Frédéric Chopin y ont séjourné je serai en bonne compagnie, j' irai dans leurs pas !et puis ..
Je demande à voir ..
Moi j'y vais pour tout ce que j'aime et aussi pour me reposer
Dans ma valise : maillot et paréo , car je pense que la météo sera encore clémente , enfin si j'en crois mon agence de voyage ,et le guide
De chez moi , direction Nantes, pour l'aéroport d' où nous nous envolerons
Bon ça suffit
A vous de chercher un peu , en début de semaine les neurones sont vaillants ..
Et au retour un cadeau ....Pour la 1ere bonne réponse
Annick ma Guyanaise est hors concours ICI ainsi que Canesole ICI plus connue sous Soledad mon amie
qui sera la gardienne du " temple "
Une carte où se trouve le lieu de mes futures vacances , hé oui c'est vaste ,
Voyez comme je suis attendue ...
En espérant que le ciel et la mer soient ainsi ..!
25 commentaires -
Par icioula24voyage le 21 Septembre 2011 à 10:56
Devinette
Je vous souhaite une belle journée pour ce 1er jour d' automne
8 commentaires
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