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CiNé-CiNéMa pRiNtEmPs 2011
*Bonjour *
Après quelques semaines à rester alitée pour cause de vertiges, j' étais très déçue de ne pouvoir assister à certaines projections de films
Et puis en lisant un billet de mon amie' naute Alexomy link
* le printemps du cinéma *
Retrouvant un peu d' équilibbre ,je vais donc dans les salles obscures!
sera mon premier film
Nina Sayers, première danseuse au New York City Ballet, parvient à convaincre son directeur artistique, Thomas Leroy, de lui confier le rôle principal de sa nouvelle production du "Lac des Cygnes", qui ouvrira la prochaine saison du Lincoln Center. Or, si Thomas ne doute pas du talent de Nina pour incarner le cygne blanc, il craint en revanche qu'elle ne puisse rendre sur scène la sensualité et la duplicité du cygne noir. Le machiavélique directeur fait donc en sorte de décoincer sa virginale et frigide ballerine, notamment en lui filant dans les pattes la délurée Lily. Or, cette ballerine de Los Angeles en vient à exercer une forte influence sur son inexpérimentée consoeur, au point de pousser cette dernière à se délivrer de l'emprise de sa mère surprotectrice. Mais en apprenant que Thomas a désigné Lily comme sa doublure, l'insécure et perfectionniste Nina bascule dans un délire paranoïaque.
- Natalie Portman (VF : Sylvie Jacob et VQ : Aline Pinsonneault) : Nina Sayers
- Mila Kunis (VF : Marjorie Frantz et VQ : Camille Cyr-Desmarais) : Lilly
- Winona Ryder (VF : Françoise Cadol) : Beth Macintyre
- Vincent Cassel (VF : Vincent Cassel et VQ : Tristan Harvey) : Thomas Leroy
- Barbara Hershey (VQ : Marie-Andrée Corneille) : Erica Sayers (la mère de Nina)
- Benjamin Millepied : David (Le Prince)
- Sebastian Stan : Andrew
- Toby Hemingway : Tom
- Kristina Anapau : Galina
- Ksenia Solo : Veronica
- Kimberly Prosa et Sarah Lane : doublures de Nina infos prises sur le net
Quatorze membres du Pennsylvania Ballet choisis par le chorégraphe du film, Benjamin Millepied, jouent en tant que corps de ballet, derrière les solistes[2]. Ce sont par ailleurs des débuts de Benjamin Millepied en tant qu'acteur et chorégraphe[3]
Film envoûtant où l'on découvre la dureté de cet art et ce Lac des cygnes à mille lieux de l'imagerie populaire
Pour moi une merveille d' émotion
A travers ce film J'ai compris aussi cette maladie , dont me parle parfois ma fille face à ses patients ,combien ces personnes sont en souffrance
et puis à peine remise de mes émotions je cours dans une autre salle pour voir
George VI était affligé d’un bégaiement terrible et il n’était monté sur le trône que parce que son frère aîné Édouard VIII avait abdiqué pour épouser une Américaine déjà mariée deux fois. Ce couple de roman-photo n’est pas montré à son avantage dans le film. Cela renforce la sympathie qu’on éprouve d’emblée pour le cadet, George VI, roi d’Angleterre à son corps défendant (et père de l’actuelle reine Elizabeth).
Le texte du Discours d’un roi est une pièce, encore jamais jouée, de l’Anglais David Seidler. En 2007, la mère de Tom Hooper (réalisateur de The Damned United) entend une lecture publique de cette pièce et pressent qu’elle pourrait fournir le scénario du prochain film de son fils. Elle voit juste !
C’est un bon texte d’abord parce que c’est un bon sujet. Et c’est un bon sujet d’abord parce que c’est une histoire vraie : l’histoire du roi George VI qui, en 1939, dut prononcer un discours décisif à la radio, adressé aux cinquante-huit pays composant l’Empire britannique – soit le quart de la population mondiale –, alors qu’il n’aurait pas dû être roi, et qu’il était physiquement incapable de parler en public !
C’est un nouveau grand rôle pour Colin Firth, qui livre ici, peut-être plus encore que d’habitude, les étonnantes richesses de son non-jeu qui donne à approcher au plus près des mystères et des grandeurs d’un homme, alors qu’il paraît s’appliquer à les cacher le mieux possible. Le roi, bègue et timide, se sait incapable de prononcer correctement un discours radiophonique, mais la fonction l’y oblige. Et à l’époque, pas question d’enregistrer pour corriger ensuite au montage : la technique n’existe pas encore. Il faut parler en direct. C’est sa femme qui trouve la solution.
Un orthophoniste aux méthodes peu orthodoxes
Sous les traits d’une Helena Bonham Carter accortement arrondie, la duchesse d’York (la future populaire « Reine Mère ») prend en main le traitement de son mari pour que celui-ci arrive à articuler correctement. Renvoyant les médecins officiels de la cour, incapables, elle déniche par petite annonce un orthophoniste d’origine australienne, Lionel Logue, aux méthodes peu orthodoxes, qui se révélera le sauveur de la voix du roi. Le rôle est tenu par Geoffrey Rush, Australien lui-même, qui cabotine avec un plaisir communicatif sans chercher toutefois à voler la vedette à son partenaire, ce qui scelle l’art d’un grand acteur.
La partie centrale du film est faite des séances d’orthophonie qui font se rencontrer – s’affronter plutôt – le roi et son thérapeute, jolis morceaux de vérité humaine, obligée de ruser avec les bienséances et la dignité du monarque. Le beau de l’histoire, même si elle est évidemment arrangée pour le spectacle, c’est qu’elle rend plausible l’amitié qui se crée finalement entre ces deux hommes très dissemblables et dont le fruit – le fameux discours – est d’une très étrange et inoubliable saveur. Rappelons que nous sommes en 1939. La petite histoire du discours plonge dans la grande, la petite anecdote du film s’élève au grand art.
Édouard Huber infos prises sur le net
- Colin Firth (VF : Christian Gonon ;VQ : Carl Béchard) : Albert dit « Bertie », duc d'York et futur George VI
- Geoffrey Rush (VF : François Marthouret ; VQ : Denis Mercier) : Lionel Logue, orthophoniste
- Helena Bonham Carter (VF : Jeanne Savary ; VQ : Camille Cyr-Desmarais) : Elizabeth Bowes-Lyon, épouse du duc d'York
- Guy Pearce (VF : Thibault de Montalembert) : Édouard dit « David », prince de Galles et futur Édouard VIII
- Michael Gambon (VF : Philippe Laudenbach ; VQ : Vincent Davy) : George V
- Timothy Spall (VF : Hervé Pierre) : Winston Churchill
- Jennifer Ehle : Myrtle Logue
- Derek Jacobi (VQ : Hubert Fielden) : Cosmo Lang, archevêque de Canterbury
- Anthony Andrews (VQ : Jacques Lavallée) : Stanley Baldwin, Premier ministre
- Eve Best : Wallis Simpson, maîtresse américaine d'Édouard VIII
- Freya Wilson : la princesse Elizabeth
- Ramona Marquez : la princesse Margaret
- Roger Parrott : Neville Chamberlain, infos prises sur le net
Je suis encore sous le charme anglais de cette époque , j'ai aimé l' histoire de ces deux hommes vivant à des années lumières l'un de l'autre et que le handicap a raproché pour toujours
Je ne saurais vous dire à quel point ces deux films m'ont bouleversée ,après quelques jours je suis encore dans ces deux films qui m'ont faits verser des larmes
Voilà pour mon grand plaisir , j'ai repris le chemin du ciné , dommage de n'avoir pu partager ces films qu'avec des anonymes ! J'ai eu beaucoup de mal pour la rédaction de ce billet, je pense qu'il sera poster ,je n'ai pas encore valider ce dont on me demande sans cesse sur O.B !!!!
Je vais programmer quelques billets car je serai la semaine prochaine absente des blogs ( pour raison familliale )je penserai à vous ,désolée , il y a parfois des priorités ...
États-Unis la 83e cérémonie des Oscars. Salué par la critique et le public, Le Discours d'un roi est le grand vainqueur de cette soirée, avec quatre statuettes, dont celle du meilleur film et du meilleur scénario. Tom Hooper est lui meilleur réalisateur, tandis que Colin Firth obtient l'Oscar du meilleur acteur.
Natalie Portman s'est vue décernée l'Oscar de la meilleur actrice pour son rôle dans Black Swan. Christian Bale et Melissa Leo (Fighter) sont quant à eux sacrés meilleurs second rôle. ; commentaires sur le net ...
Yes !! j'avais fait les bons choix !
Ce billet est un peu long ,mais c'est pour vous montrer ces deux fims, vus à la suite l'un de l'autre et ce que j'ai ressenti
Bon week-end @mi(e)s n@autes
Tags : film, vq , vf , roi, c’est
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Commentaires
Bonjour Laurette
Deux films que je désire voir.
Aujord'hui c'était encore le travail au jardin pour me remettre d'aplomb. Puis j'ai repris les pinceaux pour faire evacuer ce blues que je ressens, suite à la visite chez ma soeur.
J'ai eu l'info que "Carmen est donné en retransmission dans des salles j'ai pensé à toi.Si tu vas voir et écouter lcet opéra, quand tu entendra Mikaëla, pense que j'ai appris ce rôle .
Bisous
Françoise
Bonjour Laurette , moi aussi j'ai vu Black Swan , bien ... ! mais un peu décu tout de même , peut être trop entendu dire que c'était le film de l'année ! mais enfin bon j'ai aimé , mais sans plus ... par contre j'ai pas vu le discours d'un roi , ce sera pour bientôt je pense , je te souhaite une belle fin de journée et un bon week-end , amitiés et bisous de Thierry
film merveilleux!!!!moi aissi seule c'est ce qui ma manque le partage ,enfin!!!!! reposes-toi je pense à toi trés fort big bises
bONJOUR ! cela fait quelques jours que je vous cherche ! je vais essayé de retrouver votre blog, bon w-e , tis bos icioula08
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Bonjour Laurette
en effet tu as fait une cure de cinéma ,nous n'y sommes même pas allé ,il faisait si beau que nous sommes restés dehors à travailler au jardin.Je suis contente de voir que tu vas mieux fais attention quand même.
passes un bon weekend
gros bisous
Rosedesneiges