• CaPriCe D'iCiOuLa NoVeMbRe

    Bonjour

    Il n'est pas trop tard pour éditer votre caprice ..

     

    le biut du défi, prendre toutes les lettres de son pseudo et les placer dans le thème du mois .

     

    Le thème de ce mois -ci " Les Saints "

     

    I Saint Isidore

    C Sainte Catherine

    I Saint Ignace

    O Sainte Odile

    U Sainte Ursule

    L Saint Laurent

    A Sainte Agathe 

     

     

     

      Saint Isidore

     

    Isidore de Séville, né entre 560 et 570 à Carthagène - mort le 4 avril 636, est un religieux du VIIe siècle, évêque métropolitain d'Hispalis (Séville), une des principales villes du royaume wisigothique entre 601 et 636.

    Il vient d'une famille influente (son frère, Léandre, ami du pape Grégoire le Grand le précède à l'épiscopat de Séville) qui contribue largement à convertir les Wisigoths, majoritairement ariens, au christianisme trinitair 

     

       

      Sainte Catherine , la Sainte patronne de ma Katouchka

     

    Catherine d'Alexandrie est une vierge et martyre qui aurait vécu aux IIIe et IVe siècles. La tradition situe sa naissance à Alexandrie vers 290 et sa mort, dans la même ville, vers 307. Sa légende, et donc son culte, ne s'est cependant répandu qu'après les Croisades.

    Sa fête, le 25 novembre, donne lieu à diverses célébrations populaires, dont celles des jeunes filles à marier de plus de vingt-cinq ans, appelées les catherinettes.

     

     

       

     

     Saint Ignace

     

    Saint Ignace d'Antioche, né vers 35 d'origine syrienne, mort (martyr) probablement en 107 ou 113, fut le troisième évêque d'Antioche, après saint Pierre et Evode, à qui il a succédé vers 68. Probablement disciple direct des apôtres Pierre et Jean il est surtout connu pour ses lettres apostoliques, associant le martyre pour la Foi aux grains de blé moulus pour devenir le pain de l'Eucharistie.

    Ses lettres apostoliques développant une première théologie eucharistique le font ranger parmi les Pères apostoliques, première génération de Pères de l'Église.

    C'est un saint pour l'Église catholique, qui le fête le 17 octobre (pendant longtemps le 1er février), et pour les Églises Orthodoxes et catholiques orientales, qui le fêtent le 20 décembre

     

       

    Sainte Odile

    Odile de Hohenbourg, ou sainte Odile, née vers 662 à Obernai (Bas-Rhin), morte vers 720 à Hohenbourg, est une dame de l'époque mérovingienne, fille du duc Etichon-Adalric d'Alsace, fondatrice et abbesse du monastère de Hohenbourg, sur l'actuel mont Sainte-Odile.

    Elle a été canonisée au XIe siècle et est considérée comme la sainte patronne de l'Alsace

    Un texte anonyme écrit peu avant 950 raconte la vie d'Odile, mais il s'agit d'une hagiographie, en partie légendaire. Les éléments véritablement biographiques sont donc limités.

    Elle est la fille d'Etichon-Adalric[1], duc d'Alsace, mort vers 689, et de son épouse Berswinde ou Behrésinde. Son père attendant un hériter mâle est si violent qu'Odile, qui est née aveugle et donc déshonore sa famille, doit mourir. Sa mère réussit toutefois à la confier à une nourrice et à éloigner sa fille de son époux, et Odile est élevée dans le monastère de Palme. Puis, le comte Hugues, un des frères, devient victime de cette violence en faveur d'Odile, en laissant trois fils dans le bas-âge, dont Remi, futur évêque de Strasbourg. À la suite de cette catastrophe, Etichon-Adalric regrette profondément. Enfin, pour sa rédemption, il reçoit joyeusement sa fille[2].

    Avec l'appui de son père, elle crée dans les années 680, près du château de Hohenbourg, un établissement religieux qui devient ensuite l'abbaye de Hohenbourg.

    Odile devient abbesse de Hohenbourg vers 700[réf. nécessaire].

    On situe la date de sa mort vers l'an 720.

     

     

     

     

      File:Meister der Ursulalegende 001.jpg 

     

     

     

    File:Meister der Ursulalegende 002.jpg

     

     

     

    Sainte Ursule (fête le 21 octobre) est au centre de la tradition chrétienne des onze mille vierges, née au IXe siècle, puis transformée et amplifiée au XIIIe siècle après la découverte d'une pierre tombale, dans une petite chapelle de Cologne, attribuée ultérieurement à une certaine Ursula, une fillette de huit ans.

    Étymologiquement, Ursule est un diminutif du latin ursus qui veut dire « ours » (Ursule signifiant donc « petite ourse »).  

     

    L'origine historique de la légende des onze mille vierges s'est réalisée en plusieurs étapes : au début du Ve siècle une basilique funéraire est reconstruite à Cologne, sur les tombes de martyres, massacrées par une armée de Huns en 383. Au IXe siècle une inscription abrégée XI.M.V., qu'il faut traduire par « onze vierges martyres » fut lue de façon fautive en « onze mille vierges », et on y ajouta un nom lu sur une inscription funéraire voisine, Ursula, une enfant de huit ans. En 1106, des fouilles dans le cimetière qui entourait l'église mirent au jour de nombreux restes humains, aussitôt qualifiés de reliques, qui justifièrent le nombre de ces vierges. Sur ces bases se développa la légende[1].

    Il en existe plusieurs versions entremêlées. Telle qu'elle est synthétisée par la croyance populaire, notamment rapportée par Jacques de Voragine entre 1261 et 1266 dans la Légende dorée, il s'agirait d'une princesse bretonne des Cornouailles du IIIe siècle (ou IVe siècle) qui aurait accompli, pour fuir son prétendant, un pèlerinage de 3 ans auprès de Saint Cyriaque de Rome. À son retour, elle aurait été capturée par les Huns et aurait refusé d'épouser leur chef Attila, et donc d'abjurer sa foi. Elle est massacrée, criblée de flèches par les Huns qui assiégaient Cologne, ainsi que ses suivantes vierges, au nombre de onze mille.   

     

    L’importance donnée à cette légende dans la chrétienté du Moyen Âge explique les onze flammes ornant le blason de la ville de Cologne, dont sainte Ursule est la sainte patronne. Ses reliques sont vénérées dans la basilique qui porte son nom. Au XIIIe siècle, la Sorbonne l’adopta comme patronne, imitée en cela par l’université de Coimbra au Portugal et celle de Vienne en Autriche. Elle est aussi la patronne des drapiers, son manteau ayant été considéré comme miraculeux. Elle est l’objet d’une iconographie importante et a notamment inspiré le peintre Carpaccio.

    Sainte Ursule est également connue pour sa vertu. Elle fut longtemps invoquée en temps de guerre pour obtenir une bonne mort, un bon mariage, mais aussi comme protectrice des jeunes filles. À ce titre, elle est la sainte protectrice de l’ordre des Ursulines qui inspira sainte Ursule Ledochowska, canonisée le 18 mai 2003, connue pour avoir fondé la congrégation des « Ursulines du cœur de Jésus agonisant » (ou « Ursulines grises ») au début du XXe siècle.

    La légende des onze mille vierges inspira les noms donnés à l’archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon (anciennement dénommé « archipel des onze mille Vierges »), aux îles Vierges des Caraïbes : îles Vierges britanniques et îles Vierges américaines, ainsi qu'au Cap des Vierges, à l'embouchure orientale du détroit de Magellan.

     

     

      File:Fra Angelico 058.jpg 

     Saint Laurent ( mon Saint ainsi qu'à ma Laurence !

     

    Son père s'appelle Orence (ou Orens dans le Sud-Ouest de la France), et sa mère Patience. Afin de compléter ses études humanistes et liturgiques, il fut envoyé, tout jeune encore, dans la ville de Saragosse, où il fit la connaissance du futur pape Sixte II.

    Le supplice de saint Laurent sur le gril (enluminure du XVe siècle)

    Sixte II l'établit le premier des sept diacres attachés au service de l'Église romaine. Il avait, en cette qualité, la garde du trésor de l'Église et était chargé d'en distribuer les revenus aux pauvres. Avant de mourir, il aurait expédié la coupe utilisée par Jésus-Christ lors de la Cène (le Saint Calice), qui faisait partie de ce trésor, à ses parents, à Huesca. Elle est de nos jours conservée dans la cathédrale de Valence en Espagne.

    Laurent, dont le plus ardent désir était d'être associé au martyre de saint Sixte, le suivait en versant des larmes et lui disait : « Où allez-vous, mon père, sans votre fils ? Saint pontife, où allez-vous sans votre diacre ? » Saint Sixte lui répondit : « Je ne vous abandonne point, mon fils ; une épreuve plus pénible et une victoire plus glorieuse vous sont réservées ; vous me suivrez dans trois jours. »

    Après l'avoir ainsi consolé, Sixte lui ordonna de distribuer aux pauvres toutes les richesses dont il était dépositaire, dans la crainte qu'elles ne tentassent la cupidité des persécuteurs. Laurent distribua donc aux indigents tout l'argent qu'il avait entre les mains, puis il vendit les vases et les ornements sacrés, et en employa le produit de la même manière.

    Voici pourquoi le saint, qui dispensait généreusement des aumônes, est le patron des pauvres 

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Martyre de sainte Agathe par Tiepolo.

    Connue par une Passion du Ve siècle, son histoire a été reprise par Jacques de Voragine dans La Légende dorée.

    Née au IIIe siècle à Catane en Sicile, dans une famille noble, Agathe était d'une très grande beauté et honorait Dieu avec ferveur et lui avait ainsi consacré sa virginité. Quintien, proconsul de Sicile mais homme de basse extraction, souhaitait par-dessus tout l'épouser, pensant qu'il pourrait ainsi gagner en respect mais aussi jouir de la beauté et de la fortune d'une telle épouse.

    Agathe ayant refusé ses avances, Quintien l'envoya dans un lupanar tenu par une certaine Aphrodisie qu'il chargea de lui faire accepter ce mariage et de renoncer à son Dieu. La tenancière ayant échoué, Quintien fit jeter Agathe en prison et la fit torturer. Parmi les tortures qu'elle endura, on lui arracha les seins à l'aide de tenailles mais elle fut guérie de ses blessures par l'apôtre Pierre qui la visita en prison. D'autres tortures finirent par lui faire perdre la vie et son décès fut accompagné d'un tremblement de terre qui ébranla toute la ville.

    Un an après sa mort, l'Etna entra en éruption, déversant un flot de lave en direction de Catane. Selon la légende, les habitants s'emparèrent du voile qui recouvrait la sépulture d'Agathe et le placèrent devant le feu qui s'arrêta aussitôt, épargnant ainsi la ville.

    Depuis, on invoque son nom pour se protéger des tremblements de terre, des éruptions volcaniques ou des

     

         Sainte Agathe, je l'ai admiré dans tous le bassin méditerranéen  

     

     

    Le culte de sainte Agathe dépassa rapidement le cadre de la Sicile : en 470, les ariens lui consacrent une petite église à Rome, Sainte-Agathe-des-Goths, que le pape Grégoire le Grand donna aux catholiques.

    Sainte Agathe est la patronne des nourrices, des bijoutiers, des fondeurs de cloche, des villes de Catane et de Palerme, ainsi que de l'île de Malte. Ses reliques, qui auraient été transférées à Constantinople en 1050, reposeraient maintenant depuis 1126 dans la chapelle qui lui est dédiée dans la cathédrale de Catane qui lui est consacrée.

    Une pâtisserie populaire en forme de sein est réalisée lors de la fête de la Sainte, les « Minne di Sant'Angata » ou les « Minuzzo », qui sont servis par paire en Sicile dans la ville de Catania. Ce sont des petits dômes de pâte fourrés de fromage frais, de fruits candis et de pistache. Recouverts d'un glaçage blanc et surmontés d'une cerise confite, ils symbolisent la poitrine de la martyre.

    En France, c'est par la brioche qu'on fera référence à la poitrine d'Agathe de Sicile, à travers le Gâteau de Saint Génix, ou Gâteau Labully, qui fut inventé en 1880 par le pâtisser Pierre Labully dans le village de Saint-Genix-sur-Guiers en Haute-Savoie. L'apparition dans cette région du culte de sainte Agathe ainsi que de la tradition des brioches en forme de seins coupés remonte à l'annexion de la Sicile au duché de Savoie, en 1713. Pour l'anecdote, Pierre Labully est un lointain descendant de Claude Labully-Burty, un paysan savoyard de la fin du XVIe siècle, qui est aussi l'ancêtre commun de deux présidents français : Nicolas Sarkozy et François Hollande[réf. nécessaire].Une pâtisserie très populaire est réalisée lors de la fête de la Sainte : les « Minne de Sant'Agata » qui sont servies par paire. Ces sont de petits dômes de pâte fourrés de fromage frais, de fruits candis et de pistaches. Recouverts d'un glaçage blanc et surmontés d'une cerise confite ils symbolisent les seins de la martyre[réf. nécessaire]

     

    Toutes ces infos sont prises sur   Wikipédia

     

    Bonne lecture sans doute bien longue ..

     

    @ bien vite

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    « MoN vOyAgE En ThAïLaNde *1*La PaReNtHèSe iNaNiMéE #27# »

  • Commentaires

    1
    Mardi 26 Novembre 2013 à 20:10
    LADY MARIANNE

    je vais le faire ! pas vu dans tes articles-
    tu as super bien travaillé ! bravo !!
    bisous et bonne soirée-

    2
    Mardi 26 Novembre 2013 à 23:07

    -- Hello chère Icioula !!!
    Merci pour cette belle et intéressante publication !!!!

    La brioche doit être délicieuse !
    GROS BISOUS d'Asie pour toi
    et bon mercredi !!!! --

    3
    Mercredi 27 Novembre 2013 à 07:03

    bravo, réussi ! bonne journée

    4
    Mercredi 27 Novembre 2013 à 09:13

    il faut bien les honorer de tps en tps ces saints

    5
    Mercredi 27 Novembre 2013 à 11:41

    Un bel article ,avec mes lettres de mon pseudo c'est pas évident bonne journée bisous

    6
    Mercredi 27 Novembre 2013 à 20:32

    j'ai reçu ton colis aujourd'hui ! merci beaucoup, tu m'as gatée une fois de plus ! tu as fais des folies ! gros bisous ! 

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