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Par icioula24voyage le 22 Octobre 2012 à 04:24
Rien ne me fait davantage plaisir que d’assister à un Opéra ,à un ballet
Vous savez combien j’aime vous en parler
Le temps me manque
Mais voici ma dernière sortie
Un ravissement
J’ai été transportée
*Edward Watson joue le rôle du prince héritier Rodolphe dans ce ballet qui couvre 9 ans de la fin de vie de Rodolphe avec sa spirale implacable d'intrigue politique, de drogue et de meurtres. Il culmine avec le suicide au pavillon de chasse entre lui et sa maitresse de 17 ans, Mary Vetsera.
Tout le monde connait cette tragédie !
Bonne écoute
ICIOULA
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Par icioula24voyage le 16 Octobre 2012 à 09:30
Bonjour
Vendredi j'ai invité ma belle-fille
Nous sommes allées voir
*Le Barbier de Séville *
Ou La Précaution inutile comédie en 4 actes écrite par Beaumarchais
En 1772 sa 1ère présentation aux comediens Italiens , est refusée
En 1775 elle est présentée à La Comédie Française
Elle fut composée par l' auteur suite à un séjour à Madrid
Le Barbier de Séville constitue le 1er volet de la trilogie intitullée
Le roman de la famille Almaviva
Suivie du Mariage de Figaro et de L' Autre Tartuffe ou La Mère coupable
GIOACCHINO ROSSINI
Né en 1792 à Pisoro , il joue et accompagne son père dans des orchestres de villages
Etudes: violoncelle ,piano
A 12 ans compose ses 1ères sonates pour violons, violoncelle et contre- basse
A 15 ans recopie les Opéras de Mozart
Il écrit son premier Opéra : Le Barbier de Séville en 1816 en 13 jours
C'est le premier de ses 40 opéras
Aux premières lueurs du jour ,le comte Almaviva déguisé en étudiant se rend sous la jalousie de Rosine
Sous le nom de Lindor ,l' aristocrate a quitté les fastes de la cour Madrilène pour Séville afin d'y retrouver une jeune et noble orpheline ,surveillée par le Dr Bartholo son vieux tuteur qu' il espère épouser
Lindor rencontre Figaro son ancien valet
Il lui raconte ses péripéties: apothicaire et barbier du vieux barbon jaloux
Le comte lui avoue son amour pour Rosine qu' il a rencontré au Prado,il l' a cherche depuis 6mois
Figaro valet débrouillard et rusé va se mettre au service de son ancien maître pour favoriser ses amours
Rosine apparaît à sa fenêtre
et l 'intrigue commence ....
**
La splendeur des décors en noir et blanc -argenté ainsi que les costumes étaient très attrayants
J' ai appréciée les scènes des rues ,les changements de tableaux sous nos yeux tout en douceur de style très modernes
Juan Diego Florez (comte Amaviva ) -Ténor -m 'a séduite : son timbre ,souplesse ,fludité
Piétro Spagnoli ( Figaro) -baryton -impressionant un des meilleurs et très aimé des Italiens
Maria Bayo ( Rosine ) - mezzo /soprano -pleine de fougue de jeunesse et d' espiéglerie
Berta la femme de chambre si comique -mezzo /soprano
Bruno Pratico(Docteur Bartholo ) fort en minauderies
et puis tous ces autres chanteurs lyriques de talent..
La mise en scène d ' Emilio Sagi pleine de vie , de tumulte ..
Tout cela orchestrait par le Chef incontesté Gianluigi Gelmetti
Le dernier acte se termine joyeusement ,en couleurs
J' ai passé plus de 3 heures de bonheur
La musique m' a portée
J' ai beaucoup pensé à mon amie Soizig link
Le plaisir aussi d' échanger avec elle mes impressions de ces moments qui nous raprochent même de loin
Bien entendu ne pas occulter ce génial Rossini
**
Je dois dire que ce billet n'est pas aussi bien fait que le 1er ..J'ai malencontreusement fait une mauvaise manip et malgré que mon billet était dans " brouillon" pufff parti..
J' ai tout essayé ,introuvable
Comment faire dans ce cas ?
Pas moyen de joindre over-blog
Donc ce 2ème billet pas trop à ma guise mais ...
Bref en le refaisant j'ai pensé à Alexomy linket à "ses petits bonheurs"
**
Je n'ai pas trouver l' Opéra que j' ai entendu alors tout de même quelques notes pour vous
En compagnie de la Divine MARIA CALLAS que demander de plus pur
Ce billet est tout spécialement dédié à Françoise
Amicalement 'naute et bonne semaine à vous
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Par icioula24voyage le 18 Juin 2012 à 02:18
Rien ne me fait davantage plaisir que d’assister à un Opéra ,à un ballet
Vous savez combien j’aime vous en parler
Le temps me manque
Mais voici ma dernière sortie
Un ravissement
J’ai été transportée
*Edward Watson joue le rôle du prince héritier Rodolphe dans ce ballet qui couvre 9 ans de la fin de vie de Rodolphe avec sa spirale implacable d'intrigue politique, de drogue et de meurtres. Il culmine avec le suicide au pavillon de chasse entre lui et sa maitresse de 17 ans, Mary Vetsera.
Tout le monde connait cette tragédie !
Bonne écoute
ICIOULA
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Par icioula24voyage le 23 Février 2012 à 03:34
Un magicien généreux
une fée aimante
Il y a peu j’ai eu le grand bonheur d’assister à un superbe ballet
~ ~~Le Lac Des Cygnes ~~~
Ce magnifique cadeau offert par ma fille et mon gendre l’an dernier !
Ce fut long d’attendre tous ces mois ...
Je dois dire que nous étions parfaitement placées , 3em rang dans le parterre
Et 3 personnes étaient absentes aux places juste devant nous !
L’ orchestre à nos pieds beaux instruments ,tenues de soirée ,et puis nous pouvions admirer la moindre expression des danseurs , leurs costumes , la grâce ..bien évidemment
Nous étions entre filles , trois générations , ma petite –fille Faustine ,ma fille Katouchka et moi la mamouchka !
Le spectacle étant long ,nous nous sommes posée la question est-ce que la petite princesse allait tenir le coup ?pourrions -nous assister à tout le Ballet ?
Oui , elle était comme nous deux sa maman , captivée par le ballet, la musique et l’ambiance de cette soirée magique, l’odeur pareille à nulle autre des costumes chamarés ,des décors .cette sensation d' être transportée loin loin ,elle m'a épatée ma petite-fille par les sensations qui l'ont émue
En un seul mot : Magique
Voici quelques -uns de mes clichés et images photographiées sur le livret et d'autres sur le net.
Des vidéos ,en cliquant sur les autres images vous pouvez voir tout le ballet, enfin je pense ..
L'introduction vous semblera sans doute un peu longue, prenez patience et allez regarder toutes les vidéos de Super Sashika ( sur la droite de votre écran)
Ballet magique en 3 actes ( 4 tableaux )
Musique :Piotr Tchaïkovski
Chorégraphie : Marius Petipa et Lev Ivanov ( 1895 )
Chorégraphie révisée : Konstantin Sergueev (1950)
Premiers rôles :
Irina Kolesnikova :Odette/Odile
Dmitri Akulinin :le Prince Siegfrid
Dimeke Saykeev :Von Rothbard
Libretto : V Begichev et Vassili Geltzer
Décors : Semion Pastukh
Costumes :Galina Solovieva
Le lac des cygnes est un des ballet les plus célèbres , un des joyaux du répertoire de la musique classique avec des mélodies de Piotr Tchaïkovski
Ce ballet est interprété par le Saint- Pétersbourg Ballet Théâtre ,une des meilleurs troupes de Russie ,qui frappe par sa jeunesse et son entrain.
L’ élégance et le style , la discipline des alignements et l’harmonie d’ensemble caractérisent la troupe du STBT qui nous font vibrer en regardant la superbe légende de la danseuse –cygne
L’ orchestre du Saint- Pétersbourg Ballet Théâtre qui accompagne cette compagnie prestigieuse crée une atmosphére énigmatique
Une somptueuse représentation scénique pour la troupe du Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre
Le Prince Siegfried qui au lendemain de sa majorité part à la chasse ,au bord du lac il rencontre Odette cygne le jour et femme la nuit, dont il tombe éperdument amoureux.
Elle lui raconte sa tragédie et l’envoûtement dont elle est victime
Seul un homme lui jurant amour et fidélité pourrait la débarrasser de ce sort maléfique.
Evidemment le Prince s’y engage .
Mais le vil sorcier Von Rothbard veille ..
En voulant briser le méchant sort, le Prince s’ expose aux fourberies du sorcier et du cygne noir ,sa fille Odile
http://www.youtube.com/watch?v=61hI2QHAnlA
Entre duos romantiques et chorégraphies enlevées se succèdent
Danse Vénitienne, Pas Espagnols ,Mazurka et danses des grands cygnes
A nos pides l'orchestre
Mes ami(e)s’ nautes je vous souhaite une belle soirée ,pour nous ce fût un vrai bonheur
Si vous avez le temps ,je vous conseille de regarder les vidéos ,une pensée pour notre amie Chantal qui n'a pas eu la chance d'être si bien placée à l' Opéra Bastille
@ bientôt ici où là où me conduiront mes envies de vous faire découvrir des lieux que j’aime
Prenez soin de vous ,je remercie chaleureusement la communauté
* Entre ombre et lumière *pour son accueil
Notre petit rat ,la seule petite fille de la soirée qui admire la harpe avec beaucoup d’ attention et qui rêve de danser dans un corps de ballet !!!
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Par icioula24voyage le 2 Novembre 2011 à 00:05
Vendredi sur ARTE, j'ai eu la joie de regarder le Gala de la réouverture du Bolchoï
C'était vraiment fabuleux , j'étais aux anges
Quelles photos récentes du Bolchoï , prises par ma fille Laurence pendant son périple dans les pays de l' Est
Parmi des petites Japonaise : coucou maman !
Le président russe, Dmitri Medvedev, s’est exprimé avant le lever de rideau peu après 15H00 GMT, célébrant "l’une des plus grandes images de marque du pays" dans une brève allocution sur la scène du théâtre.Les premiers sons à retentir dans la salle resplendissante d’or et de velours rouge n’étaient pas des notes de musique mais, de manière surprenante, des grincements d’engins de chantier et des crissements de pneus, évoquant les années de rénovation du bâtiment historique. Le gala s’est ouvert par un concert chanté par la troupe du Bolchoï vêtue de costumes pour le moins particulier - bleus de travail et casques de chantier blancs et oranges - suivi, de manière plus classique, d’un ballet de danseuses en tutu.La reconstruction, dont le coût officiel s’élève à 21 milliards de roubles (près de 500 millions d’euros), visait d’une part à stabiliser le théâtre, délabré à 70% et qui risquait de s’effondrer, et d’autre part à lui redonner l’aspect qu’il avait au XIXe siècle, au temps de sa splendeur.Les armoiries de la famille Romanov sont ainsi réapparues sur les tapisseries du Foyer impérial où elles avaient été recouvertes de globes terrestres ou de lyres à l’époque soviétique.Je vous souhaite de passer un agréable momentQuand à moi , je vais attendre avec impatience de voir un ballet avec cette troupe extraordinaire du Bolchoï , un magnifique cadeau que m' offre mon gendre , nous en reparlerons le temps venu@ bientôt de vous lire
13 commentaires -
Par icioula24voyage le 5 Octobre 2011 à 16:00
Une soirée à l' Opéra ?
* FAUST *
Faust de Gounod a été le plus grand succés de son temps , rejoignant , le Covent Garden en 1863,4 ans après sa première à Paris , et est devenu rapidement le favori des spectateurs victoriens
En 2004 Faust est revenu au répertoire du Royal Opéra House avec un changement de taille avec le brillant David McVicar.
Jouè dans le Paris du second empire , il a donné ces mélodies familières , ses grandes structures et au centre épique de la lutte entre le bien et le mal une résurrection.
La chute de Faust , le philosophe tenté par le démon Méphistophélès ,et les terribles conséquences de son amour pour l' innocente Marguerite et de son frère Valentin sont mis en avant avec perspicacité et bravoure théatrale
L'histoire se déroule auXVI siècle en Allemagne , L'ouvrage s'ouvre par une brève introduction orchestrale qui campe, avec une grande puissance évocatrice, les aspirations contradictoires qui déchirent le personnage principal, le docteur Faust : le vertige métaphysique et la soif de connaissance et les pulsions humaines, évoquées par le thème, facile et légèrement vulgaire, de l'air « Avant de quitter ces lieux... » que Valentin chantera au deuxième acte
lE CABINET DE fAUST
Au soir de sa vie, le docteur Faust se lamente sur l'inanité de toute connaissance et veut se suicider en absorbant du poison (Rien, en vain je m'interroge). Mais, par deux fois, les voix de jeunes filles et de laboureurs qui passent sous les fenêtres arrêtent son geste (Ah! paresseuses filles). Se révoltant contre la science et la foi, Faust invoque lediable (Mais ce Dieu que peut-il pour moi ?), qui apparaît sous la forme d'un démon subalterne, nomméMéphistophélès . Méphistophélès l'informe qu'il est venu parce que Faust l'a appelé. Faust doute alors du pouvoir de Méphistophélès. Méphistophélès lui promet tout ce qui est possible et Faust indique qu'il "veut un trésor qui les contient tous : la jeunesse". Méphistophélès lui accorde, mais Faust doit signer une déclaration dans laquelle il accepte de devenir le serviteur de Méphistophélès après que la jeunesse lui sera reprise. Il hésite, mais la vue de Marguerite le pousse à signer (À moi les plaisirs).
La kermesse
L'acte II va permettre à Faust et Marguerite de se rencontrer. Un chœur de soldats, d'étudiants et de villageois chantent joyeusement une chanson à boire, « Vin ou Bière ». Valentin, partant à la guerre, confie la garde de sa sœur Marguerite à ses deux amis, Wagner et Siébel. Il chante une invocation, rajoutée quelques années après la création de l'opéra sur des paroles d'O. Pradère, « Avant de quitter ces lieux... ».
Méphistophélès apparaît alors et chante la très célèbre ronde « Le veau d'or est toujours debout ». Son personnage ainsi campé, il se livre à divers tours de magie de moins en moins anodins. Après qu'il s'est moqué de Marguerite, Valentin tente de le frapper avec son épée mais celle-ci se brise. Valentin et ses alliés repoussent le démon avec la poignée en forme de croix de leurs épées (chœur: « De l'enfer qui vient émousser nos armes... »).
Par la suite, Méphistophélès, Faust et les villageois sont entraînés dans la valse « Ainsi que la brise légère ». Apparaît Marguerite à qui Faust offre son bras que Marguerite refuse ; cette scène fugitive est l'occasion d'un échange de répliques extrêmement célèbre :
- Ne permettrez-vous pas, ma belle demoiselle,
Qu'on vous offre le bras pour faire le chemin ?
- Non, monsieur, je ne suis demoiselle ni belle,
Et je n'ai pas besoin qu'on me donne la main.L'acte se conclut sur la reprise de la célèbre valse. C'est aussi au commencement de ce deuxième acte que se trouvent les célèbres vers:
Vin ou bière,
Bière ou vin,
Que mon verre
Soit plein!
Sans vergogne,
Coup sur coup,
Un ivrogne
Boit tout!
Jeune adepte
Du tonneau,
N'en excepte
Que l'eau!
Que ta gloire,
Tes amours,
Soient de boire
Toujours!LE JARDIN DE MARGUERITE
Acte III : Le jardin de Marguerite
Une introduction orchestrale débouche sur les couplets de Siébel, sautillants et légers comme le personnage, qui laisse un bouquet pour Marguerite (« Faites-lui mes aveux »). Méphisto se moque de lui avec esprit et va chercher « un trésor plus merveilleux, plus riche encore que tous ceux qu'elle voit en rêve ! » laissant Faust seul pour chanter son admirable et célébrissime cavatine « Salut, demeure chaste et pure . Suit un rapide dialogue avec Méphisto qui revient avec un coffret plein de bijoux et qui s'exclame : « Si le bouquet l'emporte sur l'écrin, je consens à perdre mon pouvoir ! »
Apparaît enfin Marguerite que, jusqu'alors, le spectateur n'a que furtivement entrevue à l'acte II. Elle s'assied à son rouet et chante la belle et célèbre ballade « Il était un roi de Thulé » dont la musique évoque à la fois le mouvement circulaire du rouet et le mystère des légendes nordiques. Marguerite trouve alors le bouquet de Siébel, puis les bijoux. Elle hésite d'abord, puis s'en pare et chante le célèbre air dit « air des bijoux » (« Ah! je ris de me voir si belle en ce miroir »), popularisé comme archétype du
rand air d'opéra interprété par la Castafiore des bandes dessinées de Tintin).Survient dame Marthe, la voisine de Marguerite, rôle secondaire mais qui, par tradition, est attribué à de très grandes artistes. Elle convainc Marguerite de conserver les bijoux. Surviennent Faust et Méphisto, qui flirtent avec dame Marthe. Tout le monde sort mais Méphisto revient seul sur scène et chante son invocation à la nuit (« Ô nuit, étends sur eux ton ombre... »), autre air extrêmement célèbre. C'est un morceau inquiétant, le seul passage de l'opéra dans lequel Méphisto apparaît véritablement diabolique. Il ouvre la scène suivante, celle de la séduction de Marguerite, qu'il marque d'une empreinte magique.
Suit le duo de Faust et de Marguerite. Marguerite permet à Faust de l'embrasser (« Laisse-moi, laisse-moi, contempler ton visage »), mais lui demande peu après de s'en aller. Elle chante à sa fenêtre pour demander à Faust de revenir, ce qu'il fait.
LA CHAMBRE DE MARGUERITE
Acte IV : La chambre de Marguerite, l'église, la rue
L'acte IV débute dans la chambre de Marguerite alors qu'elle a donné naissance à un enfant de Faust. Elle chante l'air « Il ne revient pas », souvent coupé.
Tourmentée, elle se rend à l'église pour prier mais elle est arrêtée, d'abord par Méphistophélès et après par un chœur de démons. Elle finit sa prière mais s'évanouit lorsqu'elle est maudite par Méphistophélès.
La scène change. Dans la rue, Valentin et les soldats reviennent de la guerre. Ils chantent un chœur martial extrêmement populaire, « Gloire immortelle de nos aïeux ». Valentin entre dans la maison de sa sœur. Arrivent Faust et Méphistophélès. Ce dernier chante une sérénade grinçante (« Vous qui faites l'endormie »). Valentin revient et cherche à savoir qui est le père du fils de Marguerite. Faust et Valentin se battent en duel. Avant de croiser le fer Valentin a la sottise de se séparer de la médaille que lui a donnée Marguerite, ce qui le laisse sans protection face aux sortilèges de Méphisto. Faust le tue dès lors sans difficulté.
LES MONTAGNES dU HARZ...
Acte V : Les montagnes du Harz, la vallée du Brocken, la prison
L'acte V commence dans les montagnes du Harz, pendant la Nuit de Walpurgis. Méphistophélès et Faust sont entourés de sorcières (« Un, deux et trois »). Faust est transporté dans une caverne où il assiste au banquet des reines et courtisanes de l'Antiquité. Faust a une vision de Marguerite et la demande.
Méphistophélès aide Faust à pénétrer dans la prison où Marguerite est enfermée pour avoir tué son enfant. Ils chantent alors un duo d'amour (« Oui, c'est toi je t'aime »). Lorsque Marguerite apprend que Faust avait fait un pacte avec le diable, elle demande une protection divine. Faust prie, pendant que l'âme de Marguerite s'élève vers le paradis et est accueillie par un chœur d'anges (« Christ est ressuscité »).
J' ai passé une soirée extraordinaire , forte en émotion, avec de beaux tableaux parfois très modernes,
comme l' acte V avec les sorcières ,impressionants ,
une belle réalisation, où j'ai pensé à mon amie SoizigICI
Faust : Vittorio Grigolo
Méphistophélés :René Pape
Marguerite : Angela Gheorghui
Valentin : Dmitri Hvorostovky
Orchestre du RoyalOpéra House
Chef d' orchestre : Evelino Pido
Metteur en scène : David McVicar
Choeur du Royal Opéra
6 commentaires -
Par icioula24voyage le 20 Avril 2011 à 20:50
Bonjour ami(e)s ' nautes , il y a peu je suis allée voir avec ma belle- fille
*LES NOCES DE FIGARO *
Un opéra-bouffe, sur un livret en italien de Lorenzo da Ponte, inspiré de la comédie de Beaumarchais, " Le Mariage de Figaro ".
Rosine est maintenant la comtesse Almaviva ; son mari, toutefois, est loin d'être un modèle de vertu. Il poursuit entre autres de ses assiduités la camériste de sa femme, Suzanne (Susanna), qui doit épouser Figaro entré au service du comte, et la fille de son jardinier, Barberine (Barbarina). Il est toutefois concurrencé par le page Chérubin (Cherubino), qui est amoureux de toutes les femmes et en particulier de la comtesse sa marraine. De son côté, la vieille Marceline (Marcellina), aidée du docteur Bartholo (Bartolo) et du maîre de musique Bazile (Basilio), veut empêcher les noces de Suzanne et Figaro, car ce dernier lui a fait une promesse de mariage.
L'ouverture est très célèbre: joyeuse, fébrile, mouvementée... Ce bref presto dépeint à merveille le caractère léger de l'oeuvre.
Acte I
La chambre de Figaro et de Suzanne.
Le rideau se lève sur une chambre meublée seulement d'un fauteuil. Figaro mesure l'espace afin d'y placer le futur lit nuptial, tandis que Suzanne essaye un chapeau orné de fleurs (Duo " Cinque... dieci... "). Suzanne ne veut pas de cette chambre que le comte leur destine, et qui se trouve à proximité des chambres de leurs maîtres car le comte risque d'en profiter pour la poursuivre de ses assiduités (Duo " Se a caso madama "). Figaro, demeuré seul, promet de déjouer les projets de son maître (Air " Se vuol ballare ").
Entrent Bartholo et Marceline, un contrat à la main. La vieille fille lui demande de l'aider à obliger Figaro à honorer une ancienne promesse de mariage avec elle. Bartholo promet de s'y employer pour se venger de Figaro, auquel il n'a pas pardonné la soutien apporté au comte pour lui souffler sa pupille Rosine5 (Air " La vendetta "). Il sort. Marceline aperçoit Suzanne et essaie de la provoquer, mais cela se retourne contre elle (Duo " Via resti servita "). Chérubin entre et raconte à Suzanne que le comte l'a surpris seul avec la jeune Barberine et l'a congédié. Il vole à Suzanne un ruban appartenant à la comtesse sa marraine, dont il est amoureux (Air " Non so più cosa son, cosa faccio ").
Le comte apparaît, pour réitérer ses avances à Suzanne et la convaincre d'accepter un rendez-vous galant. Chérubin n'a que le temps de se cacher derrière le fauteuil. La voix de Bazile, maître de musique et langue de vipère, se fait entendre et le comte se cache à son tour derrière le fauteuil, tandis que Chérubin bondit dessus, et que Suzanne le recouvre d'une robe. Mais le comte qui a révélé sa présence finit par découvrir le page (Trio " Cosa sento! "). Chérubin n'est sauvé que par l'entrée de Figaro à la tête d'un groupe de paysans, venus remercier à point nommé leur maître d'avoir aboli le droit de cuissage sur son domaine (Choeur " Giovinete liete "). Figaro demande au comte sa bénédiction pour le mariage, mais celui-ci temporise et réitère le bannissement de Chérubin, lui ordonnant de rejoindre son régiment. Figaro se moque ouvertement du jeune garçon en lui décrivant les affres de la vie militaire, mais lui dit tout bas qu'il doit lui parler avant son départ (Air " Non più andrai, farfallone amoroso ").
Acte II
La chambre de la comtesse.
La comtesse se lamente sur le délaissement de son mari. (Air " Porgi, amor, qualche ristoro ") Suzanne fait entrer Chérubin qu'elle convainc de chanter à sa marraine la sérénade qu'il a composée en son honneur (Air " Voi, che sapete che cosa é amor "). Les deux femmes décident de l'habiller en femme afin qu'il puisse rester incognito au château et assister au mariage (Air " Venite inginocchiatevi "). Arrivée du comte qu'une lettre anonyme a averti d'un rendez-vous galant donné à sa femme (il s'agit en fait d'un " faux " de Figaro, destiné à susciter la jalousie du comte et le détourner ainsi de Suzanne) ; Chérubin va se cacher dans le cabinet voisin mais il fait tomber un meuble et le comte, soupçonnant la présence d'un amant, ordonne à sa femme de l'ouvrir. La comtesse refuse, l'assurant que c'est seulement Suzanne ; le comte, fermant toutes les portes, entraîne dehors la comtesse en attendant de trouver une façon de forcer la porte du cabinet.
Suzanne, qui avait réussi à se cacher derrière le lit, fait sortir Chérubin de sa cachette ; celui-ci saute par la fenêtre pendant que la camériste prend sa place dans le cabinet. Le comte et la comtesse reviennent. La comtesse avoue que c'est Chérubin qui est caché là pour une farce bien innocente. Le comte entre en fureur et force la porte mais, à son grand étonnement (et à celui de la comtesse), il tombe sur Suzanne. Celle-ci lui annonce ironiquement que la lettre était fausse et que c'était un jeu destiné à le rendre jaloux afin qu'il s'intéresse un peu plus à sa femme. Figaro entre et subit les remontrances de son maître mais désamorce le conflit en rappelant que la noce les attend.
Le jardinier Antonio apporte à ce moment au comte un papier qu'il dit avoir été perdu par un homme qui vient de sauter par la fenêtre de la comtesse. Le document s'avère être la nomination de Chérubin comme officier et Figaro se sort de cet embarras en affirmant que c'est lui qui a sauté et qu'il était en possession de ce papier dans le but d'y faire apposer par le comte un cachet manquant. Alors que tous s'apprêtent à rejoindre la noce, Marceline, Bartholo et Bazile apparaissent, réclamant l'application du précédent contrat. Le mariage de Figaro et de Suzanne se trouve reporté afin que le comte puisse juger sereinement - dit-il - de sa validité.
Acte III
La salle du mariage.
Le comte est embarrassé par les événements récents. Suzanne se présente et lui annonce qu'elle consent à le rencontrer dans le jardin. Le comte se réjouit de ce revirement (Duo " Crudel, perché finora "). Alors qu'elle quitte la pièce, elle dit à voix basse à Figaro que leur succès est maintenant certain et son procès gagné d'avance. Le comte entend ces dernières paroles et comprend qu'il a été trompé (Air " Hai già vinta la causa "). La scène du procès s'ensuit au cour de laquelle on découvre que Figaro est le fils naturel de Marceline et Bartholo, enlevé à sa naissance et qu'il ne peut donc pas épouser la vieille gouvernante (Sextuor " Riconosci in questo amplesso una madre "). les anciens ennemis tombent dans les bras les uns des autres au grand dépit du comte.
Seule, la comtesse songe à son bonheur perdu (Récitatif et air " E Susanna non vien... Dove sono ") quand Suzanne arrive et lui annonce la bonne nouvelle. Les deux femmes décident de confondre le comte en lui donnant rendez-vous le soir même dans le jardin, où la comtesse se rendra sous les habits de Suzanne (Duo " Canzonetta sull'aria "). Le comte devra lui rendre l'épingle qui ferme la lettre pour montrer qu'il l'a bien reçue. Un choeur de jeunes paysans, avec parmi eux Chérubin, donne une sérénade à la comtesse (" Recivete, o padroncina "). Le comte arrive avec Antonio et, découvrant le page, se met d'abord en colère puis finit par pardonner, apaisé par Suzanne qui lui remet discrètement le billet. L'acte s'achève par le double mariage de Figaro avec Suzanne et de Marceline avec Bartholo.
Acte IV
Dans le jardin, le soir (parfois précédé par une scène dans le couloir).
Suivant les directives du billet, le comte a envoyé Barberine porter l'épingle à Suzanne mais la jeune fille l'a perdue (Cavatine " L'ho perduta, me meschina "). Innocemment, elle apprend à Figaro - qui n'est pas au courant de la supercherie - l'existence du rendez-vous. Malgré les tentatives d'apaisement de sa mère, qui lui explique que les femmes ont des circonstances atténuantes (Air " Il capro e la capretta "), il décide de se venger et de confondre les amants sous les yeux de tous, après avoir déversé sa rancoeur vis-à-vis de la gent féminine (Récitatif et air " Tutto è disposto... Aprite un po' quegli occhi ").
Suzanne, qui a été prévenue par Marceline, veut également jouer un tour à Figaro qui ose douter de sa fidélité. Après avoir prêté sa voix à la comtesse pour exprimer son impatience à retrouver son " bien-aimé " (Air " Giunse alfin il momento...Deh vieni, non tardar "), elle tente sous les habits de la comtesse de séduire Figaro mais celui-ci évente rapidement la ruse et, après être entré dans son jeu en devenant de plus en plus entreprenant, ce qui met en rage Suzanne, il lui avoue l'avoir reconnue. Les jeunes mariés font la paix alors que paraît la comtesse, d'abord importunée par Chérubin qui pense faire la cour à Suzanne, puis rejointe par le comte qui lui déclare son amour et lui offre en gage une superbe bague.
Désirant pousser la farce jusqu'au bout, Figaro se met à courtiser à haute voix la fausse comtesse, ce qui a pour conséquence de mettre le comte hors de lui, qui appelle ses gens, bien décidé à châtier les coupables. Des lumières apparaissent et les masques tombent à la grande confusion du comte qui n'a plus d'autre choix que d'implorer le pardon de sa femme. Celle-ci consent et tous, enfin réconciliés, décident de finir la soirée au son des chants et des danses du banquet de mariage (Final " Contessa perdono... Questo giorno di tormenti ").
McCallin complètent magnifiquement cette production. AntonioLes Noces de Figaro est le premier des trois opéras que Mozart écrivit avec Lorenzo da Ponte. Le livret est tiré de la pièce de Pierre Caron de Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, qui, parce qu'elle mettait en scène un valet qui se révoltait contre son maître, avait été interdite par la censure pendant plusieurs années.
Les Noces de Figaro a été créé au Burgtheater de Vienne, le 1er mai 1786.
La création parisienne eut lieu le 20 mars 1793, salle de la Porte Saint-Martin, dans une adaptation française de Beaumarchais lui-même.
Pappano dirige l'orchestre (et accompagne les récitatifs) avec une remarquable finesse et une grande intensité émotionnelle.
Figaro: Erwin Schrott
Susanna: Miah Persson
Count Almaviva: Gerald Finley
Countess Almaviva: Dorothea Röschmann
Marcellina: Graciela Araya
Barbarina: Ana James
Cherubino: Rinat Shaham
Choeur du Royal Opera
Orchestre du Royal Opera House
Mise en scène: David McVicar
Direction musicale: Antonio Pappano
Durée: 3h22 , retransmis du Royal OPERA HOUSE DE LONDRESJ' ai passé un bon moment , c'est très drôle et si vous avez le courage de lire le livret ..
Quelqu'unes de ces infos prises sur le net
6 commentaires -
Par icioula24voyage le 10 Avril 2011 à 16:47
Avec le printemps du cinéma ,je me suis vraiment fait plaisir car à la suite je suis allée voir
CARMEN EN 3D ! de BIZET
GEORGES BIZET :
En 1875, il s'installe dans le petit village de Bougival pour terminer l'orchestration de Carmen et honorer cette nouvelle commande de l'Opéra Comique qui voulait "une petite chose facile et gaie, dans le goût de notre public avec, surtout, une fin heureuse" (cité par les Amis de Georges Bizet). Il faudra toute la ténacité de Bizet et de Ludovic Halévy, son librettiste, pour convaincre le directeur de l'Opéra Comique d'accepter cet opéra si différent de ses aspirations ! Après trois mois de travail sans répit et 1 200 pages de partition, "Carmen", son chef d'œuvre, est prêt et son superbe livret est de Henri Meilhac et de Ludovic Halévy qui ont écrit les livrets des plus célèbres opérettes de Jacques Offenbach, La Belle Hélène, La Vie parisienne, La Périchole. Bizet assiste à toutes les répétitions qui se révèlent épuisantes : il se heurte aux chanteurs qui n'ont pas l'habitude de bouger en scène et de jouer leurs personnages avec le naturel que Bizet attend d'eux, aux musiciens qui trouvent cet opéra trop difficile et toujours à la mauvaise humeur du directeur exaspéré par le thème de la pièce qu'il trouve indécent.
Le 3 mars 1875, il est fait chevalier de la Légion d'honneur, le jour de la première de Carmen qui se révèle être un désastre. Les musiciens et les choristes sont médiocres, les changements de décor prennent un temps considérable si bien que la salle se vide peu à peu. Le public et la critique sont scandalisés par cette histoire sulfureuse que la presse du lendemain condamne au nom de la morale. Bizet en est bouleversé. Il contracte une angine mais décide contre tous les avis de se réfugier dans sa maison de Bougival. Le 29 mai 1875, il se baigne dans l'eau glacée de la Seine et est pris dès le lendemain d'une crise aiguë de rhumatisme articulaire. Sa santé s'aggrave et dans la nuit du 2 au 3 juin, victime de complications cardiaques, il meurt d'un infarctus à l'âge de 36 ans.
Son opéra Carmen, adapté de la nouvelle de Prosper Mérimée, est l'une des œuvres du répertoire les plus jouées dans le monde. L'échec de l'œuvre lors de ses premières représentations tient principalement au rejet du sujet par un public heurté dans sa morale bienséante et dans son conformisme bourgeois. Carmen est une femme sulfureuse, sans attaches, sans religion, sans respect pour l'ordre établi, passant d'amant en amant, ayant pour seule morale et pour seules règles sa liberté et son bon plaisir. Le public de cette fin du XIXème siècle ne pouvait qu'être choqué par cette femme insoumise et par l'histoire de cette passion brûlante qui finit mal. Mais en Europe, après la mort de Bizet, la carrière éblouissante de "Carmen" fut rapide. Le premier triomphe de cette œuvre lumineuse a lieu à Vienne dès le mois d'octobre 1875. Brahms, enthousiaste, assiste à vingt représentations ! Richard Wagner et Nietzsche furent, entre autres, des admirateurs de l'œuvre dont Tchaïkovski disait que "d'ici dix ans, Carmen serait l'opéra le plus célèbre de toute la planète" (cité par Les Amis de Georges Bizet). Il a fallu que Carmen connaisse le succès dans le monde entier et notamment aux États-Unis et en Russie pour que l'Opéra Comique mette à nouveau à son répertoire cette œuvre fiévreuse et généreuse, "Une histoire pure et limpide comme celle d'une tragédie antique,qui commence dans la naïveté d'une carte postale et s'achève dans le sang." (J-F Sivadier, metteur en scène).
Le succès extraordinaire de cette œuvre tient aussi à sa musique, "archétype de ce qui caractérise l'esprit et le style si particulier de la musique française : clarté, sonorités limpides, élégance diaphane, suggestion, articulation, lisibilité ..." (J-C Casadesus, C'est un fait, Carmen est devenue un mythe). Il tient également à la très grande unité entre le livret et la musique, entre la dramaturgie et le chant. "Le premier coup de cymbales de l'ouverture contient toute la fulgurance d'un rayon de soleil acéré mais il fait luire aussi la pointe menaçante d'un couteau brandi. Le ton est donné. L'urgence est là. Elle conduit d'une façon implacable à la finalité de l'ouvrage, la fatalité de la mort." (J-C Casadesus, idem).
Georges Bizet est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division
Carmen est un opéra-comique en quatre actes de Georges Bizet, sur un livret d'Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d'après la nouvelle Carmen, de Prosper Mérimée. La première représentation eut lieu sous la direction d'Adolphe Deloffre.
Créé le 3 mars 1875 à l'Opéra-Comique de Paris, c'est l'un des opéras français les plus joués au mondearmen
, bohémienne et cigariere (mezzo-soprano ou soprano dramatique) – Le rôle fut créé par Célestine Galli-Marié. C'est l'un des rôles les plus exigeants du répertoire par la richesse de la personnalité et l'étendue des interventions musicales. L'ambiguïté de la tessiture est à la mesure de la complexité du personnage
Dans CARMEN en 3D
*Carmem ,mezzo-soprano CHRISTINA PRICE
- Don José, brigadier, (ténor) BRYAN HYMEL
- Micaëla, jeune Navarraise (soprano lyrique) – MAIJA KOVALEVSKA Personnage qui n'existe pas dans l'œuvre originale de Prosper Mérimée, destiné à faire contraste avec la sulfureuse Carmen.
- Escamillo, torero (baryton ou baryton-basse) ARIS AIGUIS
- Frasquita, bohémienne(mezzo-soprano léger ou soprano)
- Mercédès, bohémienne(mezzo-soprano)
- Le Dancaïre, contrebandier (baryton ou trial)
- Le Remendado, contrebandier(ténor)
- Zuniga, lieutenant (basse)
- Moralès, brigadier(baryton)
- Lillas Pastia, aubergiste(rôle parlé)
- Un guide (rôle parlé)
- Orchestre Royal Opéra House : maestro CONSTANTINO CARYDIS
L’HISTOIRE : Malgré l’amour de sa fiancée Micaëla, le brigadier Don José ne peut se défaire de l’emprise de Carmen, ‘La Carmencita’. Emprisonnée après avoir blessé dans une manifestation une cigarière de la manufacture de tabac, Carmen s’échappe de prison, aidée par Don José … Ne pouvant résister à ce puissant amour, Don José déserte pour la suivre dans un refuge de gitans… Ensorcelé, il se bat au poignard avec Escamillo, son rival, un jeune torero. Seule la nouvelle agonie de sa mère l’éloignera un temps de Carmen qu’il ne retrouvera qu’au moment où son rival triomphera dans l’arène. Dès ce moment là, son désespoir laisse place à la colère. Carmen, qui ne l’aime plus, attise sa jalousie et quand elle veut rejoindre son toréador bien-aimé, que la foule applaudit, Don José la poignarde.
Que dire de plus ! j'ai passé un agréable moment , j'avais l'impression d' être sur scéne ( 3D) avec tous ces personnages, moi qui était allé seule à cet opéra, comme le dit souvent mon amie Soizig, quel dommage d' être éloignées ! je ne savais plus ou pas que tu avais tenue le rôle de MICAËLA , toi soprano ...
La prochaine fois je vous parlerais des Noces de Figaro
A bientôt sur vos blogs ,merci de me lire , amicalement' naute
14 commentaires -
Par icioula24voyage le 14 Décembre 2010 à 11:30
Pour mon plus grand plaisir j'ai assisté au ballet de Casse- Noisette
de Piort Illitch TchaÏkovski
A Londres comme aus Etats Unis , Cassee-noisette tient souvent à Noël le devant de l' affiche
Le Royal Ballet de Londres en programme aussi une série de représentation dans la version classique et féerique
du Britanique Peter Wright d' après Lev Ivanov
Tchaïkovski
Compositeur Russe de l' ére romantque né à Votkinsk en 1840 dcd en 1893 à Saint-Pétersbourg
Il est l' un des plus grand compositeur de la deuxième patie du XIX siècle
Compositeur électique , son oeuvre d' inspiration plus occidentale que ses contemporains , incorpore des éléments internationaux , mais ceux-ci additionnés à des mélodies folkloriques nationales
Orchesteur génial doté d' un grand sens de la mélodie ,il compose dans tous les genres , s'illustrant particuliérement par ses symphonies, suites , ballets, concertos
C' est aussi lui qui donna ses lettres de noblesse au ballet ajoutant dimension symphonique à un genre auparavant considé comme inférieur
Conte casse- noisette d' Hernest Théodor Amadeus Hoffman 1876- 1892
un timbre pour Tati Ana et Alice !!
Royal House Opéra London
CASSE -NOISETTE
C'est la veille de Noël et l' échevin donne une fête pour ses enfants , amis,
Parmi les invités se trouve le parrain de Clara ; le Dr Drosselmeyeur qui aurait des pouvoirs magiques
Il offre à sa filleule un casse-noisette ,
Clara reçoit aussi de ses grands- parents une de souliers magiques
Or Fritz le frère est jaloux , il brise le casse- noisette de Clara
Le docteur s' en empresse de le réparer
Tous dansent autour de l' arbre de Noël et de casse- noisette et la soirée se termine dans la joie
Dans la nuit , la fête finie Clara descend au salon et s' endort avec le pantin
Souris, rats , soldats de plomb envahissent la pièce
Clara a peur parmi la bataille
Le dr ranime le pantin
Le roi des rats et Casse- noisette s' engagent en duel
L' héroïne lance de toutes ses forces un soulier magique et élimine le Roi des rats
En récompense le Dr Drosselmeyer métamorphose Casse- noisette en Prince
Celui-ci enméne Cara au Pays des neiges
Danse avec les flocons
Puis Clara et son Prince sont accueillis par la fée Dragée
Qui donne une grande fête en leur honneur
Friandises et divertissements
La fée Dragée danse pour eux
Le docteur Drosselmeyer
Le Prince et la fée Dragée
Un enchantement dans la plus pure tradition
Docteur Drosselmeyeur , La fée Dragée , le Prince
Clara rentre ensuite sur un cygne aux ailes dorées...La fée Dragée :Myako YoshidaLe Prince : Stenven McRaeDrosselmeyeur : Garis AvisClara : Caroline Duprot ( doue d'une prescence lumineuse et 'dune candeur appropriée , elle constitue le fil rouge du récit )Le neveu Casse-noisette : Ricardo CerveraChorégraphie : Peter WrightDécors magnifiques ; Julia Trevelyan OmanChef 'd orchestre Koen KesselsLa production comme celle de George Balanchine associe les éléves de la Royal Ballet SchoolLes enfants jouent et dansent auprès de leurs idoles , et cette part de rêve au cours de leur scolarité demeure un merveilleux instrument de motivation et d' apprentissageUne pensée affectueuse pour Marie-Claude ma belle - fille heureuse de mon cadeau d' annivJe viens d' oter la vidéo , car une amie' naute me dit que toutes les musiques font le plein de vos oreillesSi quelqu'un me donne un coup de pouce pour oter cette " CACOPHONIE " elle aura toute ma sincère sympathieJ'espère que vous aurez l' occasion de voir ce ballet , il sied pour les fêtes de fin d' annéeBonne fin d' année ,prenez soin de vous
19 commentaires -
Par icioula24voyage le 28 Novembre 2010 à 11:53
Aujourd' hui je vous propose de visiter l' Opéra de Tours , une belle journée passée à découvrir de fond en comble
ce lieu magique qu' est le Théatre- Opéra de Tours , j'ai assisté aux répétions de Fidélio de Ludwig van Beetoven
sous la direction de Jean-Yves Ossonce
*Fidélio* : Beethoven ,a mis en scéne et en voix un hymne à l' amour conjugal , (idéal poursuivi et jamais atteint tout au long de sa vie ),et une ode à la liberté ,inspirée des idées " Lumières "dont il était proche .
La première version fut écrite une dizaine d' années après la Révolution Française ,d' après un fait authentique advenu à la prison de TOURS ( !) pendant la période révolutionnaire : une femme de la noblesse s' était déguisée en homme pour faire évader son époux emprisonné pour des raisons politiques
****
la scéne d'ici je vois Jean-Yves Ossance, qui répondra si gentiment aux questions posées en fin de journée
ëtre sur scène d'un Opéra qui n'a pas rêver de cela un jour ? m'y voici ..
Après avoir monter les marches en colimaçon du Thétre ,ce croquis
des affiches représentant des Opéras
un lieu que j'ai beaucoup apprécié
Une des loges
et là je me suis franchement régalée
je remercie la personne qui m'a autorisée à prendre ces clichés
Ce jour là je suis prise en photo par notre journal " La nouvelle répubique " partant le lendemain pour Paris je n'ai pas vu ma tronche dans notre quotidien ,ni lu l'entretien ..
je suis à 9 mètres de hauteur dans les ceintres ,les machineries ,c'était impressionnant de voir le travail des changements de décors, les techniciens ont été formidables ,répondant aux milles questions car cet univers est vraiment très interressant
La scène vue de mon perchoir là je fais un zoom !
Queques costumes
je sors de l' Opéra pour une pause repas ,
Suite ..
Dernière répétition
L' orchestre symphonique Région- Centre sous la direction de J-Y Ossance
le foyer
une autre pause avant de retrouver ma place au balcon
croquis de La Vie Parisienen d' Offenbach
j'ai beaucoup aimé ce costume en soie sauvage et faille brodé
Les costumes encore ...
il y a des milliers de costumes tous plus travaillés les uns que les autres
Ce Mr à la régie a été formidable ,il a très bien expliqué son travail d' une grande importance pour l' Opéra ,le suivi tout cela avec gentillesse car bien compliqué
retour pour la répétition
Les personnes qui ont bien voulu nous raconter et répondre aux questions
Léonore : Mireille Delunsch
Marzelline : Sabine Revault d' Allonnes
Florestan : J-François Monvoisin
Rocco : Scott Wilde
Don Pizzaro : Peter Sidhom
Don Fernando :Ronan Nédélec
Jacquino : Stanislas de Berbeyrac
et
Le directeur- chef d' orchestre J- Yves Ossonce
Metteur en scéne Mario Wassermann
Décorateur Amélie Kiritzé-Topor
Costumeier Bruno Fatalo
Lumières Pierre Dupouey
Voilà des personnes amoureuses de leur art , de leur méttier qui ont été d'une patience infinie
Merci de leur générosite
Ce billet est long , je le sais , mais je ne suis pas arrivée à me décider pour le mettre en " 2 actes "
Je dois vous dire que j'ai pris tellement de clichés que j'ai l'impression de ne pas vous faire participer à cette journée entière dans ce lieu
Je n'ai pas pu voir l'avant première ,je partais soutenir ma fille pour la naissance de son bébé
* Pénélope *
Sachez que pendant toutes ces heures j'ai fait abtraction de mes angoisses et que j'ai passée une journée unique
Découvrir , échanger avec tous les corps de métier que constitue un tel endroit est extrèmement enrichissant
J' ose penser que mon billet vous mettra dans l'ambiance de ce lieu magique ( pour moi )
Bonne visite
.
Bon dimanche
La neige tombe doucement
à bientôt
8 commentaires
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